Souriez, c'est la rentrée !
- vr4429
- 1 sept. 2016
- 3 min de lecture

Branle-bas de combat pour l'école en cette rentrée 2016-17 : on réhausse les grilles, renforce les contrôles à l'entrée, forme les enfants aux "bons gestes" lors d'une attaque terroriste islamique. Une nouvelle réalité à laquelle il faudrait - nous dit-on - s'habituer pour longtemps.
Et à l'intérieur de l'Ecole de la République, la grande offensive continue sa marche en avant.
L'islam imposé dans l'école
Des mamans arborent leurs voiles islamique en conseils de classe. Des animateurs affaiblis par le ramadan sont incapables d'effectuer leur travail et d'assurer la sécurité des enfants, d'autres quittent leur poste pour aller chercher des goûters halal, repoussant la collation non conforme aux exigences de l'islam. La sonnerie de téléphone d'un agent crie allahu akbar. Des cuisiniers des écoles refusent de toucher la nourriture interdite par l'islam, et se placent ainsi en incapacité de travailler. Nos enfants mangent musulman, et beaucoup de parents n'en sont pas informés. Nos convictions n'ont absolument aucune importance. Notre culture est secondaire, évincée. L'islam est prioritaire.
Par le paiement des repas halals des cantines, les parents versent une redevance au culte musulman. C'est ainsi que l'Education Nationale est, en pleine conscience, l'acteur d'un transfert financier massif vers le culte musulman.
De dispenses de piscine en dispenses de cours de sport, l'éducation des filles à l'école est cadrée par les exigences de cette idéologie qui discrimine les femmes et les filles. Des fonctionnaires ou agents non titulaires exigent des horaires de travail compatibles avec ceux des prières de la mosquée, font passer leurs pratiques et fêtes religieuses avant leurs obligations de service. La notion de service public, une valeur socle de la société française, ne fait plus loi. Dans l'école, la loi du Coran est au dessus de la loi de la République.
Les enfants progressivement évincés de l'espace périscolaire
Une agressivité communautaire se répand dans des centres de loisirs. Écœurés et inquiets, beaucoup de parents renoncent maintenant à ce service public. Dans certaines activités sportives, le communautarisme religieux exerce une très forte discrimination à l'encontre des enfants non musulmans.
L'Education Nationale complice de l'assaut de l'idéologie de l'islam
Pour certains élèves, les minutes de silence après les massacres du terrorisme islamique n'ont pas à être respectées. Des jeunes filles sont malmenées en raison de leur habillement trop occidental. On découvre maintenant que des professeurs sont fichés S, mais on ne nous en dit pas plus... Des chefs d'établissement sont agressés, menacés, s'ils ne se plient pas aux exigences coraniques. En nombre, des élèves chinois, juifs, sont frappés, harcelés, rackettés, et cela depuis très longtemps. A qui le tour ?
L'Education Nationale tape-t-elle du poing sur la table pour rétablir l'ordre et la sécurité, pour rappeler les règles ? Pas du tout. Elle laisse faire, et regarde ailleurs. Qui ne dit mot consent. L'Institution est non seulement défaillante, mais également complice de la maltraitance faite à nos enfants. C'est une trahison, à très grande échelle.
Désapprendre, à l'école, la liberté d'expression
On sait depuis longtemps que les professeurs ne peuvent pas aborder certains thèmes du programme sans voir surgir une intolérance identitaire-religieuse. Les enfants subissent ainsi en classe les agitations vindicatives d'une hystérie communautariste.
Et qu'en est-il de la liberté d'expression des enfants en salle de classe ? Sur des sujets de plus en plus nombreux, il est maintenant prudent de se taire : éviter de froisser l'idéologie islamique au risque de vivre au quotidien un enfer de représailles communautaristes. Désapprendre l'expression au cœur même de l'école… Mais les enfants ont tout compris, notamment que l'Institution les a abandonnés et trahis, ce qui est impardonnable. Ils s'en souviendront, longtemps.
L'Education Nationale organise la transmission de l'idéologie coranique
La réforme des rythmes scolaires en classes primaires a dénaturé un peu plus la mission de l'école qui devrait être d'instruire et de transmettre la culture française. Sous le prétexte mensonger de réformer des rythmes, le gouvernement altère un peu plus le ciment de notre identité. Cette réforme a aussi, et cela est très grave, fait entrer précipitamment dans le sanctuaire de l'enfance une masse de nouveaux "intervenants" (?) non formés. Les valeurs portées par ces derniers n'ont pas été évaluées à la toise de la République. Quelle irresponsabilité, et quelle imprudence historique envers des millions d'enfants. Mettre en œuvre coûte que coûte leur dogme destructeur, au détriment de la sécurité des enfants, voilà la sinistre entreprise de ces gouvernants inconséquents.
Maintenant débutent à l'école primaire les cours d'arabe, langue du Coran qui dicte la loi de l'islam. C'est ainsi que la transmission de l'idéologie islamique s'organise au sein même de l'Education Nationale, chez les petits, par une action volontariste du gouvernement français. C'est un prosélytisme coranique d'Etat.
L'idéologie islamique répand dans l'Ecole le désordre, la discrimination, la violence, la peur.
L'Ecole de la République est assiégée de toutes parts, avec le complicité de l'Etat coupable.
Le gouvernement, en son ministère régalien de l'Education Nationale, trahit la République et la Nation.
Battons-nous aujourd'hui pour nos enfants.
Nathalie Rivage
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