Quand les masques tombent...
- vr4429
- 15 mai 2018
- 4 min de lecture

Les dirigeants mondialistes apatrides qui règnent sur la plupart des continents ont pour habitude d’agir dans la discrétion, par hommes de main interposés. Jugez de mon étonnement en tombant sur cette information communiquée par la banque d’investissement Goldman Sachs à ses principaux clients : il s’agit d’un rapport traitant de « l’éthique » du développement des thérapies du génome.
Il faut souligner le souci éthique de cette banque d’affaires, très proche de Trésor Américain auquel elle à fourni ces dernières décennies deux directeurs : R Rubin & H.Paulson. Cette banque qui a été impliquée dans des affaires de spéculation frauduleuse sur les matières premières, ainsi que dans plusieurs délits d’initiés, est aussi connue comme l’inventeur « des produits dérivés financiers » qui ont causés les crises des subprimes, de la Grèce et de l’Italie ; notamment pour ces deux derniers pays en faisant élire deux de leurs « anciens » collaborateurs, Mrs Papadimos (qui succède à M. Papandréou) ) & Monti (qui succède à Mr Berlusconi).
Le 10 Avril dernier, ces banquiers vertueux, ont fait part à leurs clients d’une réflexion indiquant que « les solutions thérapeutiques reposant sur l’intervention sur les gènes posent un réel problème. Les soins One Shot (intervention unique), consistant à réparer des gènes défectueux, pourraient représenter une difficulté pour certains développeurs de médicaments à la recherche d’un cash flow continu. (en français, une rente de situation) ».
Eh oui ! Vous avez bien lu
Sous le titre « The génome révolution » ces banquiers, par l’intermédiaire de leur analyste Salveen Richter, osent poser la question :
« Guérir les patients constitue-t-il un modèle économique durable ? »
Question à laquelle ils répondent sans ambigüité : « La possibilité de proposer des traitements One Shot est un réel progrès scientifique, mais de tels traitements offrent une perspective très différente au regard du revenu récurent aux thérapies chroniques. » et concluent par cette mise en garde : « Alors que cette proposition est porteuse d’une valeur immense pour les patients et la société ; elle pourrait représenter un défit pour les développeurs de médecine génomique à la recherche d’un cash flow durable. » et ils appuient leur argument en prenant l’exemple de l’Hépatite C, maladie virale transmise par le sang. : « Le traitement de cette hépatite, mis au point par Gilead Science, présente un taux de succès de 90% (En France l’éradication de cette maladie est prévue à l’horizon 2025), ce qui a pour effet de faire baisser la transmission du virus, ce qui entraine le tarissement du vivier des patients (des clients) à soigner ; alors que dans le cas d’un vivier d’incidence stable (comme le cancer !), le potentiel de guérison porte moins de risques pour la durabilité d’une franchise stable (c'est-à-dire l’exploitation d’un marché prisonnier). »
Comment, devons nous comprendre et interpréter la mise en garde de ces banquiers, qui ne font que transmettre l’idéologie des hautes sphères de la finance mondiale ? Les expressions « cash flow continu », et « franchise durable » sont visiblement le souci « éthique » de ces individus, l’argent, le « retour sur investissement » prime sur toute autre considération, ce qui ne rapporte pas n’a pas de raison d’exister.
Cela revient-il à inciter les médecins à renier leur « serment d’Hippocrate » en ne prenant en compte que la rentabilité ? Cela revient-il à dire aux chercheurs de la médecine génétique qu’ils doivent mettre la pédale douce, car leurs crédits vont se raréfier, pour ne pas enlever la brioche de la bouche des laboratoires qui vivent grassement des maladies héréditaires et chroniques, qui constituent un riche marché prisonnier ? Peu importe les gènes, les souffrances physiques et morales des malades et de leur environnement, la seule chose qui doive entrer en ligne de compte serait l’argent qu’on peut tirer de ces souffrances. Nous sommes en pleine éthique humanitaire !
De fait, ces individus qui constituent le microcosme de la finance planétaire se prennent pour les dieux de l’Olympe, qui considèrent le genre humain comme des pions anonymes, interchangeables et remplaçables au gré de leur volonté. Des pions sans importance qui n’ont pour fonction que de nourrir ces dieux, et le cas échéant de les amuser… ! La soif d’or et de puissance de ces faux dieux est insatiable, au point qu’ils sont capables de se dévorer entre eux.
Voila l’aboutissement final du mondialisme, tant chéri par nos dirigeants aveuglés par leur égo.Devant ce qui s’annonce ouvertement comme une course à l’abîme, trois pensées me viennent .La première est un proverbe Chinois :
« Le poisson pourrit toujours par la tête. »
La seconde est la ligne de conduite que s’était fixé le seul contemporain qui a incarné la France, au moment ou elle faillit disparaître :
« Face aux grands périls, il n’est de salut que dans la grandeur. »
La troisième est une maxime qui est en exergue sur mon bureau :
« La seule chose qui permet au mal de triompher, c’est l’inaction des hommes de bien. »
Il est arrivé le temps, Citoyens, Hommes de bien, de se lever, de se rassembler, de faire entendre notre voix, clair et fort, d’agir en patriotes responsables.
La fatalité à toujours été l’excuse des lâches et des traîtres, nous sommes les seuls maîtres de notre destin. C’est notre devoir de transmettre aux générations futures la Patrie, glorieuse, fière et indépendante que nous avons reçu.
Michel ROGER - VPF Ile de France
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