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Plutôt mort que musulman

  • vr4429
  • 19 sept. 2016
  • 3 min de lecture

Je n'avais pas prévu d'écrire aujourd'hui. Sans doute comme nombre d'entre vous, je consacre le dimanche à ma famille et à la détente. Un apéritif, un barbecue sur la terrasse à la belle saison, une ballade dans les bois ou une partie de football improvisée font de ce dernier jour de la semaine un moment important et attendu.

Les week-ends sont en effet l'occasion d'oublier nos tracas et nos contrariétés, de nous recentrer sur l'essentiel, de faire une pause nécessaire avant d'entamer une nouvelle semaine, de respirer, de nous ressourcer...


Pourtant, aujourd'hui je n'y arrive pas. Je ne peux m'empêcher, en regardant jouer mes enfants, de me demander ce que leur réserve l'avenir. Pas l'avenir professionnel ou sentimental. Je pense à leur sécurité. À leur intégrité. Seront-ils un jour fauchés par les balles d'un fou d'Allah à la terrasse d'un café ? Seront-ils blessés dans un accident de voiture causé par des migrants sur une autoroute ? M'appellera t'on une nuit pour m'annoncer qu'un camion les a écrasés sur une avenue en bord de mer ? J'y pense. De plus en plus.


Je m'inquiète d'autant plus que les élections présidentielles approchent, et que comme vous, je sais la colère de nos compatriotes qui espèrent que 2017 soit l'année de la délivrance, celle qui verra enfin déchirer le voile noir que trente années de trahisons ont jeté sur notre pays. Peut-être que ce sera le cas. Mais peut-être pas.

Lorsque je me dis qu'il est probable qu'au soir du second tour, nous voyions une nouvelle fois s'afficher la tête d'un énième candidat du système, je grince des dents. Car nous savons tous ce qui se passera.


Bâillonné une élection de trop par une construction constitutionnelle n'ayant d'autre objectif que de se protéger elle-même, le peuple n'attendra plus sagement que cinq nouvelles années d'immigration, de laxisme, d'attentats et de communautarisme se passent. Il descendra dans la rue, manifestera, scandera. Le pouvoir répliquera et signera par là la fin d'une ère : las des coups de matraques physiques et médiatiques, le peuple saisira armes blanches, fusils, bâtons, marteaux... et décidera de reprendre par lui-même la liberté et l'identité que la "République" lui a confisqué peu à peu.

Avec fureur, il fera couler le sang de ses ennemis. Il incendiera les bâtiments symboles du multiculturalisme, pendra ses défenseurs et ses promoteurs. Sans pitié. Ivre de colère et de vengeance. Il débutera la guerre civile. Pendant des mois, des années peut-être, les habitants de notre pays se battront les uns contre les autres. Une partie des forces de l'ordre et de l'armée rejoindra les rangs des insurgés, l'autre partie se dressera contre eux.

Aux vieilles carabines trouvées au fond des greniers se mêleront fusils d'assaut, explosifs, équipements tactiques et véhicules de guerre. Les patriotes ne devront ainsi plus seulement affronter l'armée de l'islam et ses sympathisants, mais aussi les coupables qui les soutiennent, et ceux qui les rallieront.

De la carte postale française, il ne restera, un temps, plus rien. Du sentiment que le malheur n'arrive qu'aux autres, chacun craindra pour sa vie et celles de ses enfants. De l'ordre établi ne subsisteront que des ruines fumantes et du "vivre-ensemble", le souvenir âpre de la plus grande escroquerie intellectuelle de l'Histoire.


J'aime mon pays, et ce n'est pas ce que je veux pour lui.

Ce n'est pas ce que je veux pour mes enfants.

Ce n'est pas ce que je veux qu'ils voient, qu'ils endurent...

Mais je me battrai pour vivre libre.

Je me battrai pour défaire nos ennemis.

Comme vous, je souffrirai pour protéger les miens.

Comme beaucoup, je mourrai peut-être.


Mais, mes amis, si en fermant les yeux, nous avons gagné la certitude que nos filles seront libres de ne jamais porter le voile et de ne pas être vendues comme du bétail ; si en fermant les yeux, nous avons gagné la certitude que nos fils ne devront jamais baisser la tête de peur d'être battus à mort sur leur propre sol ; si en fermant les yeux, nous pouvons nous dire que par le sang versé de leurs pères, jamais nos enfants n'auront à vivre sous le joug du croissant étoilé et du drapeau noir, alors je les fermerai avec le sourire...


Plutôt mort que musulman. Que cela soit dit.


Philippe Henri


 
 
 

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