De la rose rouge aux roses blanches

En ce lundi 19 septembre, à Paris, des roses blanches ont été déposées pour les victimes du terrorisme, dans le cadre d'une cérémonie d'hommage.

Ils étaient là en nombre, ces gouvernants du régime français, affichant des mines graves. Bien vivants, eux, ils siégeaient pour rendre hommage à cette partie du peuple, cette part de nous-mêmes, qui est morte parce qu'ils ont choisi de ne pas nous défendre.

Ces gouvernants ont pour mission de protéger les français, mais leur idéologie mortifère leur interdit de le faire. Une partie d'entre nous doit donc mourir, sur l'autel de leur dogme insensé.

Leur dogme s'épanouit avec des frontières grandes ouvertes, des délinquants libérés ou en liberté sans même passer par la case prison, des mosquées prêchant la haine des français, la distribution à gogo de la nationalité française, la défense de la loi islamique (halal, voile, burkini…).

Tout est organisé par eux pour inviter la loi coranique en France et pour soutenir son expansion factuelle.

Et comme d'habitude, la vérité simple n'a pas été dite lors de cette cérémonie, à savoir que c'est l'application de la loi coranique qui a tué ces victimes. Pour nommer honnêtement le réel, il faut renommer cette cérémonie : cérémonie d'hommage "aux victimes de la loi coranique", et non pas "aux victimes du terrorisme".

Le Président de la République a prononcé un discours protecteur et compatissant de façade. Quelle agilité dans la duplicité, quelle malice récurrente dans la traduction du réel ! Car dans les faits, les décisions prises par lui et son gouvernement exposent toujours plus les français à la peur, à la violence, à la barbarie, à la perte de leur identité, à la fin de leur prospérité.

Le vent de l'ambivalence et de la vacuité morale des traîtres souffle dans les hautes sphères françaises.

Je me demande souvent sur quelles bases un homme, à qui ont été confiées les plus hautes fonctions de l'Etat, peut négocier avec sa conscience la reddition qu'il organise sous nos yeux consternés.

Cette cérémonie était terriblement triste : morts, endeuillés, estropiés, traumatisés, tous si nombreux, beaucoup de jeunes et des enfants également. Mais j'ai ressenti aussi un profond écœurement d'y voir trôner le mensonge construit et le choix de l'abandon de la France.

Résistance contre la loi coranique et la trahison.

Nathalie Rivage