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Dossier Tabou sur M6 : le decryptage de Philippe Henri

  • vr4429
  • 6 oct. 2016
  • 4 min de lecture

Comme un grand nombre d’entre vous, je me trouvais la semaine dernière derrière mon écran de télévision pour regarder avec intérêt le premier opus de l’émission Dossier Tabou, consacré à l’islam en France.


Je veux, avant d’aller plus loin, saluer le courage et le patriotisme de Bernard de la Villardière, qui a osé briser l’omerta en menant cette enquête risquée, tant pour sa carrière que pour son intégrité physique (en attestent les nombreuses menaces de mort reçues depuis). Mais si un journaliste aussi célèbre choisit justement de prendre de tels risques, nous devons bien nous douter que ce n’est pas pour que nous, citoyens, nous contentions de notre côté de regarder benoîtement son travail sans chercher à lire entre les lignes et à comprendre ce qui ne peut (encore) être dit ouvertement. Car il est évident que derrière l’aspect « sensationnel » de l’émission et les points assez techniques qu’elle aborde (collusion entre politiques et islam, clientélisme, infiltration des strates influentes de la société, stratégies pour islamiser la France…) sont habilement dessinés les contours d’une réalité bien plus globale, dont les causes sont laissés à notre bonne compréhension.


Les plus fins observateurs auront en effet compris qu’on ne peut apprécier à sa juste valeur l’extraordinaire bond en avant que permet Dossier Tabou dans la visibilité de la menace islamopolitique en France, sans garder à l’esprit que le reportage s'est s’auto-censuré (histoire sans doute d'éviter que ses auteurs ne soient jetés en prison, chaines aux pieds, dans l'heure suivant sa diffusion). L’émission s’est donc intelligemment inspirée de l’adage « Il n’y a pas de fumée sans feu », choisissant de se focaliser sur la fumée et sur les éléments toxiques qu’elle essaime, pour mieux nous inviter à comprendre qu’en dessous, c’est toute la "maison France" qui est en train de brûler…


Concrètement, que nous montre ce reportage ? Il nous prouve par A+B que si nous en sommes aujourd’hui arrivés à une telle influence de l’islam politique sur notre vie quotidienne de français, c’est qu’un solide socle islamisant a prospéré depuis 30 ans sur notre territoire. Il suffit d’ailleurs pour s'en convaincre de sortir dans nos rues et de regarder avec un oeil neuf le nombres de « supports » destinés aux musulmans : épiceries halal, boucheries halal, supérettes halal, librairies musulmanes, restaurants kebab, magasins de vêtements maghrébins et africains, associations cultuelles et pseudo-culturelles… Mais aussi ponctuellement, la Foire musulmanne de Paris, les marchés musulmans, les expositions d’art islamique … Et bien sûr les quelques 2500 mosquées disséminées un peu partout, que viendront bientôt compléter les nouvelles unités actuellement en construction.


Là est le feu dont s’échappent les fumées techniques et insidieuses mises en avant par Dossier Tabou. Ce feu que nous avons tous tellement l’habitude de voir que nous n’y prêtons même plus attention. Celui que nous avons choisi de ne pas trop approcher pour ne pas en sentir la brûlure (encore que maintenant, même de loin, chacun se fait roussir la peau...). Que chacun s’en rende enfin compte : la France est islamisée. Elle ne le sera pas bientôt ; elle ne risque de l’être un jour ; elle l'est DEJA.


L’auteur de ces lignes se mettant volontiers à la place de ceux de ses lecteurs, qui, trop choqués par l’affirmation, souhaitent (de bonne foi) défendre le contraire, il propose à tous de répondre en leurs âmes et consciences à la question suivante : Est-il possible de nier l’islamisation d'un

pays, lorsque :

- vivent dans ce pays entre 12 et 14 millions de personnes étrangères ou d’origine étrangère

- il y existe 2500 mosquées, dont une centaine gérées par les salafistes

- on y estime à plusieurs centaines les salles de prières clandestines

- on y dénombre en 2016, 44 écoles privées musulmanes hors contrat, 5 écoles privées

musulmanes sous contrat

- certains de ses départements comptent 45% de musulmans (conf. Seine Saint Denis)

- le président de l’UOIF (filiale française des Frères Musulmans) a fondé et dirige un lycée

d’excellence (Averroès) ayant pour objectif affiché de former une élite musulmane pour

pénétrer toutes les strates d’influence : droit, médecine, politique, affaires, banques…

- quand on ne sert plus de porc dans des écoles de la République

- lorsqu’on retire les crèches de Noel des mairies

- quand des centaines de milliers de personnes se promènent dans la rue en tenue

musulmane

- quand partout éclatent des polémiques liées à l’islam et à ses croyants

- quand les services publics et entreprises rencontrent de plus en plus de problèmes

confessionnels sur les lieux de travail

- quand la charia (loi islamique) est considérée comme supérieure à la loi par 32% des

musulmans

- quand on dénombre 15000 salafistes sur notre sol

- quand l’armée, la gendarmerie et la police nationale se révèlent infiltrée par des

islamistes -quand des dizaines de milliers de migrants et clandestins musulmans arrivent

chaque année sur notre sol

- etc


Nous n'avons pas le droit de nier l'évidence : la France est islamisée. C’est fait. Nous y sommes. Et les attentats qui nous ont endeuillés ne sont rien à côté de ce qui se prépare. Car la guerre civile a débuté. Sournoisement, dans l’ombre, sans dire son nom. Nos ennemis le savent. Ils sont prêts et n'attendent plus que le bon moment pour débuter leur offensive armée.


Quand le vin est tiré, mes amis, il faut le boire. Il n’y a plus aujourd’hui qu’une question à se poser : puisque nous avons été trop aveugles pour empêcher l’islam de s’installer en France, quels moyens allons-nous maintenant retenir pour l’en chasser définitivement ?...


Philippe Henri


 
 
 

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