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Vivre ensemble dans le Gard…

  • vr4429
  • 9 déc. 2016
  • 2 min de lecture

Depuis les attentats de 2015 et de 2016, le Gard est "un département exposé", en particulier sa capitale. Décryptage du phénomène et témoignages de parents dont une mère qui a perdu son fils en Syrie.


"On ne sait rien du comment ni du pourquoi ! C'était un gamin gentil, naïf, fragile. Ils lui ont lavé le cerveau. C'est un embrigadement." Un silence, quelques larmes, puis Myriam (le prénom a été changé) sourit. Cette maman a perdu son fils, mort en Syrie. "On m'a prévenue par un coup de téléphone. Ils m'ont dit qu'il était tombé en martyr. Mais je suis toujours dans le doute : est-il prisonnier ? Vivant ou pas ? Nous n'avons aucune preuve. Le corps ? Ce n'est même pas imaginable de demander le rapatriement. D'ailleurs, à qui poserai-je la question ?"


En cette fin d’année, la pression semble retomber légèrement pour laisser place à une atmosphère plus apaisée aux pieds des tours ("on a l’impression qu’il n’y a plus de départ") mais un constat général apparaît, amer, celui-là : "Maintenant, on se prend des remarques ou des mauvais regards à cause du voile, c’est presque systématique quand on va en ville."


Source : Midi Libre



« A Rome, fais comme les romains » est une Expression que l'on attribue à Ambroise de Milan au IVe siècle. Lorsqu'Augustin lui aurait demandé si le jour de repos devait se prendre le samedi comme à Milan ou le dimanche comme à Rome,


Ambroise lui répondit "si fueris Romae, Romano vivito more; si fueris alibi, vivito sicut ibi" signifiant "Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit".


Elle conserve son sens premier jusqu'à aujourd'hui et elle aurait toute sa place dans le combat contre l’invasion que nous menons : En France, vis comme les français, ou va voir ailleurs…


 
 
 

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