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Réformer et Disparaitre, la belle affaire !

  • vr4429
  • 10 déc. 2016
  • 3 min de lecture

Sempiternel attrape-nigauds

Il faudra lire entre les lignes pour identifier le contrat social implicite proposé dans les programmes des candidats à l'élection présidentielle. La priorité de 2017 devrait être la question de l'immigration massive qui, si elle perdure, ruinera tout effort de redressement entrepris par ailleurs, aussi énorme soit-il. Toute politique de réforme n'incluant pas l'arrêt du flux migratoire est un coup d'épée dans l'eau, donc un attrape-nigauds. C'est également un coup de poignard dans le dos : nos efforts ne redresseraient pas la France, mais seraient engloutis pour financer le coût abyssal du remplacement de peuple en cours.


Prenons l'exemple d'un immigré entrant légalement sur notre territoire. Il fait venir une épouse grâce au regroupement familial. Ils ont quatre enfants, tous français par le droit du sol. Ils font venir deux de leurs quatre parents qui ont plus de 65 ans, notamment pour raisons de santé. C'est un facteur huit ! Cette personne qui entre en France génère un flux démographique de huit personnes dont le coût social est colossal. Je vous laisse faire la liste des prestations sociales générées par ce flux entrant, car elle est trop longue pour être exposée ici. C'est un suicide.


Mais pour la plupart des acteurs politiques, l'insoutenable facture de l'immigration est légitime, sanctuarisée, intouchable. Par contre, ils remettent sans cesse sur l'établi la facture des retraites, rabotable à l'envi. Leur arbitrage est limpide : appauvrir les anciens qui ont construit la France pendant au moins quatre décennies, et accueillir tous les cinq ans un million d'héritiers spontanés des largesses d'une France au bord du gouffre. Ils chérissent aussi un autre arbitrage sacrificiel : inviter bourse déliée cette armée de renfort de demandeurs d'emploi, quand un quart de nos jeunes est sans travail, aux côtés de 6 millions de personnes abandonnées sur le quai du train de l'emploi. Quand on aime, on ne compte pas.


Qui veut se mobiliser pour sceller sa propre disparition ?

Réformer, mais pour quoi faire ? Changer la moquette au deuxième étage et refaire la peinture au premier, tandis que les flammes lèchent les murs du rez-de-chaussée et que l'on attise les braises au sous-sol, la belle affaire ! Jamais la France ne pourra se redresser sans déployer des mesures fermes, dans le cadre d'un état d'urgence économique et identitaire :


- conditionner l'immigration extra-européenne au contrat de travail, avec quotas minimalistes par

métiers ;

- abolir le droit du sol et supprimer le regroupement familial pour les extra-européens ;

- établir une conditionnalité très sélective pour l'accès des extra-européens aux prestations sociales ;

- organiser la remigration des binationaux incarcérés ou condamnés, avec déchéance de nationalité.


Ces quatre mesures permettent de passer d'un système incitatif à l'immigration, à un cadre fortement dissuasif. Elles sont hautement prioritaires car tout simplement vitales. Elles constituent les décisions préalables à tout déploiement de plan de redressement économique de la Nation. Elles génèrent des économies très substantielles tout en enrayant le changement de peuple et l'islamisation en cours de notre pays.


En revanche, s'épuiser à redresser en vain une France envahie, qui bientôt ne serait plus la France, et au prix d'une paupérisation individuelle et collective croissante, ne présente aucun intérêt pour les français. C'est au contraire la promesse de jours bien sombres. C'est pourtant le contrat social sous-jacent, le marché de dupes, qui nous sera sans doute encore proposé de part et d'autre pour les élections présidentielles de 2017.


Nathalie Rivage


 
 
 

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