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Le café de Sevran

  • vr4429
  • 14 déc. 2016
  • 2 min de lecture

Un récent reportage sur une chaine publique a démontré clairement et simplement que la ségrégation existait avec force sur le territoire national.

Des femmes se voient interdire l'accès à un café au seul titre que ce sont des femmes. Bien sûr, pas de proscription affichée mais une espèce de bannissement qui informe totalement sur la place que l'Islam réserve à la femme. Cette déconnection d'avec la vie sociale en général et des plus simples et plus courants gestes du quotidien en particulier, définit le but à atteindre : Reléguer les femmes au rang d'objets dociles et contraints. Exercer sur elles une domination archaïque qui décide de leur quotidien.


Il est intéressant de noter que celles et ceux qui, il y a peu de temps encore, faisaient état de ce type de dérives incompatibles avec nos lois et nos principes se voyaient qualifier de fascistes islamophobes. On les accusait de vouloir détruire le trop fameux "Vivre-ensemble" dont, soi-disant, les bases reposaient sur notre devise républicaine "Liberté, égalité, fraternité" . Ceux qui osaient évoquer la Charia étaient catalogués comme de dangereux paranoïaques qu'il fallait éloigner de tout débat.


Le brouillard se lève sur les méthodes et les moyens que l'Islam développe en France comme partout. Les naïfs, qui découvrent chaque jour le monde, sont surpris et indignés et le font savoir par le biais de déclarations dont l'inutilité n'a d'égale que la triste candeur. Parallèlement, la grande partie des hypocrites qui savaient et taisaient la vérité donnent un peu de la voix. Oh bien sûr pas fortement, sans hurler ni exiger. Une sorte de murmure légèrement courroucé dont le ton, savamment dosé et la forme bien tournée exonère l'ensemble de cette communauté. Les coupables disparaissent grâce au "Pas d'amalgame" si pratique. Ils se dissolvent dans le politiquement correct. Ils trouvent un refuge protecteur dans le soit-disant "Islam modéré" dont, acte après acte, témoignage après témoignage il est permis de douter.


Bien entendu cet angélisme ricoche sans impact sur la cuirasse communautaire dont l'islam sait si bien se parer. Blindage efficace construit grâce aux failles de nos lois, aux renoncements de nos dirigeants, aux incapacités et à l'aveuglement de notre système judiciaire, aux craintes de nos "intellectuels" de constater leurs erreurs et l'inefficacité de leurs espoirs dans une assimilation ou une intégration qui n'existent que dans l'utopie de leurs démonstrations boiteuses.


Cette caméra qui a fureté dans ce bar, a opposé la réalité de l'Islam aux bredouillements approximatifs de ceux qui refusent la réalité car ce refus sert leurs ambitions d'élus et leurs carrières politiques.

N'en déplaise aux contraints, aux rêveurs et aux soumis nous ne pouvons pas concevoir la moindre co-existence avec un système politico-cultuel qui détermine la place d'un individu dans notre société par son sexe. Nous ne pouvons pas admettre une culture pour qui la mixité n'est pas envisageable dans l'espace public. Nous ne pouvons pas accepter que la dissimulation sous une prison d'étoffe devienne une norme.


Pour empêcher ces dérives extrêmement menaçantes pour nos libertés fondamentales notre légitime combat devra encore supporter d'être qualifié de conservateur voire de totalitaire ou d'extrémiste. Il ne faudra pas craindre ces étiquettes. Elles sont fausses.


Pierre Gourdans


 
 
 

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