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Dès l'enfance, soumission au rite et contribution au culte

  • vr4429
  • 14 janv. 2017
  • 3 min de lecture

En mangeant à la cantine scolaire, nos enfants se plient à la loi coranique, mais aussi financent le culte musulman. Innocents petits véhicules de financement, en file indienne et dans un consentement forcément unanime, ils donnent de notre part la pièce pour la mosquée à l'heure du déjeuner. Les gouvernants et les élus en ont décidé ainsi.


Une mutation avance à grands pas feutrés : les élèves non musulmans sont contraints de manger des produits halal aux repas et aux goûters, afin de satisfaire les exigences islamiques d'autres élèves et de membres du personnel des établissements. Les pouvoirs publics considèrent donc le rite musulman comme prioritaire et supérieur. Selon eux, la légitimité de ce rite islamique est telle qu'elle autorise la violation du principe de laïcité de l'école publique, et justifie la conversion contrainte de tous les enfants à cette pratique cultuelle.


Ceux qui ne tolèrent pas la culture française obtiennent de préserver leurs enfants des horreurs des repas français en France. En revanche, ceux qui adhèrent ou consentent à l'école laïque sont contraints de se convertir aux pratiques musulmanes ou de quitter les cantines de France. C'est à se demander qui dirige notre pays…


Nous sommes là en présence d'une indiscutable discrimination choisie. Il s'agit également d'un prosélytisme islamique d'Etat, assorti d'une soumission cultuelle autoritaire et masquée des enfants et de leurs parents. Il va sans dire que la suppression du rite alimentaire musulman au sein de l'école de la République est une priorité absolue.


Dans les coulisses de la nourriture halal à l'école, on trouve les cuisiniers. Le bon sens réclame que soient considérés comme inaptes à leur poste les cuisiniers des établissements scolaires qui refusent d'effectuer certaines de leurs tâches, ceci en raison d'interdits alimentaires islamiques auxquels ils se soumettent. Une personne qui ne tolère pas de manipuler l'alimentation française ne doit pas être cuisinier en France pour l'école de la République. Il nous faut réaffirmer avec force l'évidence, clairement établie dans la définition du Service Public français : les rituels ou les interdits politico-religieux ne peuvent affranchir un fonctionnaire ou un agent non titulaire de ses obligations. Force est de constater que les pouvoirs publics sont complices de ses manquements islamiques à l'obligation de service.


Il est indispensable d'exiger l'évaluation du montant total des facturations de produits alimentaires halal réalisés pour l'ensemble des établissements publics scolaires et périscolaires de France. Sur la base de ce montant total d'achat public, doit être évaluée la participation au financement du culte musulman qui en résulte. En effet, les mosquées récupèrent en bout de chaine une quote-part sur ces transactions, à savoir : les ventes de certificats annuels d'habilitation à l'abattage rituel, ainsi que des redevances sur la vente des labels de conformité halal (labels facturés au volume de marchandise). Un rapport parlementaire détaillé, avec une antériorité de 10 ans, doit être présenté à la Nation sur la question suivante : flux financiers vers les mosquées générés grâce aux commandes alimentaires de l'école de la République (genèse, montants, évolution). Par ailleurs, une enquête publique doit être diligentée sur l'éventualité d'une entente entre les pouvoirs publics nationaux/locaux et le culte musulman.


Ces flux financiers proviennent de la poche des parents d'élèves, mais aussi des contribuables. Les repas de l'école de la République sont un support idéal pour nous contraindre à financer le culte musulman de manière aveugle, captive, et massive : une large base potentielle de plus de 12 millions d'élèves, et qui commencent à contribuer dès l'âge de 3 ans. N'est-ce pas merveilleux ?


Il convient donc de regrouper en collectifs départementaux les parents dont les enfants sont (ont été) contraints de se soumettre au rite alimentaire musulman à l'école de la République. L'objectif des victimes est de saisir les tribunaux pour faire condamner l'Etat et les collectivités territoriales avec les griefs suivants : exposition des enfants au prosélytisme religieux, discrimination des enfants selon un critère cultuel, soumission des enfants à un rite musulman, contribution forcée des parents au financement du culte islamique. On indemnisera les très nombreuses victimes qui auront rejoint les Collectifs des Victimes du Prosélytisme Islamique et de la Christianophobie (CVPIC).


Quel profond et écœurant cynisme de la part des gouvernants et des élus que de claironner en permanence, la main sur le cœur, leur attachement sans faille à l'école laïque. Derrière le paravent de leurs discours rassurants mais mensongers, leurs décisions tissent une toute autre réalité : ils organisent l'effacement de nos principes et de nos traditions, et la conversion progressive et silencieuse de nos enfants au rite musulman. Ils soutiennent l'offensive islamique qui renverse pas à pas les lois de la République sur notre territoire.


Nathalie Rivage


 
 
 

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