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Le grand délire des hautes sphères shootées à la haine des siens

  • vr4429
  • 24 janv. 2017
  • 3 min de lecture

L'expansion des exigences et des pratiques islamiques dans nos établissements scolaires est une réalité, de la maternelle jusque dans l'enseignement supérieur. Il nous faut déloger cette offensive. Car contrairement au souhait de Najat Vallaud Belkacem, très attachée à sa culture, l'école française n'est pas un lieu d'intégration dans l'islam.


C'est pourquoi il est impératif de supprimer l'enseignement de l'arabe en classes primaires, qui a débuté à la rentrée 2016. Enseigner la langue du Coran chez les petits est une avancée majeure dans le processus d'islamisation des jeunes générations. Ainsi, l'école publique devient maintenant le rouage institutionnel d'une politique volontariste d'islamisation de notre pays. La lutte contre l'illettrisme s'efface devant une nouvelle priorité : la lecture du Coran.


Dans ce contexte de clair encouragement étatique, il est logique que les interdits-exigences-intolérances islamiques se sentent galvanisés dans l'école de la République. Les situations de rejet de notre culture et de nos règles sont multiples, émanant d'élèves ou de salariés. Il y a les refus de piscine, de sport, de mixité, de visites de lieux chrétiens, de certains enseignements. On peut citer également le négationnisme historique, les absences pour prière à la mosquée, les prières et lieux de prières sur sites, le halal pour tous à la cantine.


On déplore des élèves contraints par d'autres au ramadan, des menaces en raison de vêtements féminins incompatibles avec l'islam, des agressions de professeurs et de chefs d'établissement au nom d'intolérances islamiques, le refus de l'autorité des enseignantes, femmes que l'islam veut soumises et inférieures. Ceux qui le peuvent s'enfuient : tous aux abris dans l'école privée, explosions des démissions d'enseignants. Les CAPES ratissent très large, à des niveaux indigents, pour pouvoir recruter les futurs souffre-douleurs d'une violence qui monte.


Mais … aucune levée de boucliers ! Les gouvernants et l'Institution laissent la loi coranique remplacer pas à pas la loi de la République. L'école, matrice de notre futur, devient un champ de bataille du jihad où un seul camp se bat. Nos enfants et nos enseignants travaillent dans le désordre, l'hostilité, et la peur. Mais ils doivent s'en accommoder, car ceux qui sont aux manettes du pays ont fait le choix de s'incliner devant les offensives islamiques.


Sur le terrain, une laïcité pipée chasse notre propre culture et laisse s'imposer l'islamisme. La charte léguée par Vincent Peillon est un attrape-nigauds, un leurre pour rassurer, donc tromper le peuple. Cette approche puérile, portée par des idiots utiles, est précieuse pour l'islam qui reste ainsi libre de jouer des coudes sans rencontrer de résistance. Car pour celui qui se soumet et soumet les autres au Coran, une charte de la laïcité est une farce.


Ce sont des moyens solides et précis que l'Etat doit donner aux chefs d'établissement pour endiguer la submersion qui vient, aussi sûrement que la nuit succède au jour. La culture de l'excuse permanente et de la victimisation systématique, marchepieds de l'islam dans l'école, doit être révoquée. Entre autres sanctions très fermes, il nous faut frapper au porte-monnaie des fauteurs de trouble, notamment au travers des prestations sociales : suppression instantanée des allocations familiales, des bourses scolaires et d'études, des allocations logement pour les étudiants.


Mais les ministres Peillon et Belkacem ont (avaient) d'autres chats à fouetter. Ils préfèrent se consacrer à répandre la théorie du genre à l'école, à évincer nos langues anciennes et l'allemand des programmes. Les élus préfèrent légiférer avec une complexité sidérante sur l'interdiction des crèches de Noël. Le gouvernement priorise avec gourmandise l'insensée ouverture prochaine de nos universités à la formation des imams. Et les juges instruisent des plaintes incongrues et abusives pour islamophobie ou incitation à la haine raciale. C'est le grand délire des hautes sphères, enivrées d'idéologie mystificatrice et shootées à la haine des siens. Il fracasse les citoyens.


Avec la très coûteuse réforme des rythmes scolaires, l'insécurité des enfants a encore pris du galon. Epuisante pour les enfants, ignorante de l'explosion alarmante de l'illettrisme, cette réforme "hall de gare" a ouvert soudainement le sanctuaire de l'école primaire à des milliers d'animateurs improvisés et inconnus au bataillon. Le sanctuaire est ainsi devenu salle des pas perdus, ce qui est une impensable folie en situation de guerre terroriste islamique. Cette réforme portes ouvertes expose aussi nos enfants au prosélytisme religieux dans les nombreux quartiers islamisés. Enfin, elle génère une insécurité de plus résultant des graves carences de savoir/savoir-faire en matière d'encadrement de l'enfant chez les intervenants.


Benoît Hamon et Vincent Peillon ont déposé dans l'école primaire une bombe à retardement, et sont bien vite partis. Ils briguent désormais la Présidence de la France...

Ce vaste désastre est le résultat des choix idéologiques et politiques délibérés des gouvernants de notre pays.


Nathalie Rivage




 
 
 

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