La culture du profit
- vr4429
- 6 févr. 2017
- 2 min de lecture

Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, nous voyons nos nations occidentales dépérir à petit feu par le biais d'une destruction programmée de nos cultures ancestrales et la mise en place de divergences d'opinions au sein de nos peuples, déchirés que nous sommes sur la place que doivent occuper les réfugiés ou les demandeurs d'asile au sein de notre société.
Tout d'abord, il est nécessaire de comprendre une chose : la vie humaine n'a aucune valeur aux yeux de ceux qui nous gouvernent réellement, je ne parle pas seulement de ceux qui sont sous le feu des projecteurs, mais aussi et surtout de ceux qui ont la mainmise sur les dirigeants du monde. La seule chose importante pour ces gens là est le profit. Peu importe la manière, le bénéfice doit toujours être supérieur à l'investissement. Et dans ces conditions, même un nombre de morts élevés ne devient qu'un investissement à court, moyen ou long terme.
L'un des aspects de ce que j'appelle la « culture du profit » est de remplacer les peuples dont la démographie est en berne par une population plus « active » et dont le taux de natalité est par conséquent, très important. Ainsi, les populations européennes, dont la natalité a considérablement ralentie depuis le début de l'ère industrielle, se sont vues attribuer le statut d'obsolètes dans le cadre d'une société de consommation de masse. Cette obsolescence a engendré une chute des bénéfices pour les ultra-riches, qui ont déclenché successivement deux guerres mondiales pour tenter de faire repartir la natalité des pays occidentaux. Malheureusement, le baby boom d'après guerre n'a pas été pérenne et la solution définitive a été de remplacer nos populations, solution toujours en cours d'application de nos jours.
Un autre aspect de cette culture des ultra-riches est le business de la guerre, comme décrit en partie dans le paragraphe précédent avec les deux guerres mondiales. Mais entrons ici dans un exemple nettement plus concret avec une nation ayant récemment changé de dirigeant : les États Unis. Car la encore, les ultra-riches dominent très nettement la partie. On a pu le constater lorsque Trump, candidat des patriotes du monde entier, a nommé son gouvernement, constitué pour majeure partie d'individus richissimes, ou faisant partie du groupe Goldman Sachs. Pour résumer, on avait le choix entre Clinton accompagnée d'une guerre mondiale avec la Russie, et Trump qui compte faire la guerre à l'Islam. Dans les deux cas, l'option guerre semblait retenue. Et qui dit guerre, dit profit pour ceux qui vendent les armes...
Au final, les peuples du monde sont perdants. Pire que cela, ils sont victimes de l'insatiable soif de profits de quelques groupes supra-nationaux qui considèrent la vie humaine comme une simple marchandise. Et pour nous autres occidentaux, la seule démarche logique est d'entrer dans leur jeu macabre afin de préserver l'intégrité de nos cultures, nos peuples et nos nations. Il semble en effet que nous soyons condamnés à être les jouets de ceux qui gouvernent ce monde, que ce soit dans l'ombre ou la lumière, car nous sommes incapables de faire fi des divisions qui n'ont pourtant pas lieu d'être, créées par ces dirigeants cupides et arrogants, dont le principal credo est une maxime bien connue : diviser pour mieux régner.
Louis De La Bâtie
Comments