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A quoi devons-nous nous attendre ?

  • vr4429
  • 11 févr. 2017
  • 4 min de lecture

Combien de fois avons-nous entendu que la reprise était là, que la croissance allait s’affirmer et que, par là même, le chômage ne manquerait pas de se réduire sensiblement ? Autant de mensonges repris en boucle par les media, sommés par leurs commanditaires de cacher à tout prix la situation économique calamiteuse qui est celle de la France aujourd’hui, et hélas aussi, celle de la plupart de nos partenaires européens qui, comme nous, croulent sous des milliers de milliards de dettes qui ne seront jamais remboursées, et dont un bon nombre n’arrivent même plus à couvrir les intérêts.


Ceux qui ont pour habitude de prendre régulièrement le pouls de la situation globale, et qui ont donc derrière eux une longue mémoire des soubresauts économico-financiers qui ont émaillé l’histoire, s’accordent à reconnaître que ce à quoi nous assistons, ne s’est jamais produit auparavant, et que, étant privés de toute comparaison possible, finissent par reconnaître se trouver face à un inconnu terrifiant.


Etat des lieux

Autant ne pas se voiler la face : nous, pays occidentaux, sommes dans une impasse la plus totale, et l’on ne voit aucune solution à l’horizon à laquelle nous pourrions nous raccrocher, et surtout pas de celles proposées par une classe politique complètement dépassée, épuisée par ses propres mensonges, et largement responsable du désastre en cours, tant et si bien que, peut-être pour la première fois de l’histoire, le processus électoral auquel nous sommes conviés cette année ne semble n’avoir aucun sens. Sous nos yeux, se met très rapidement en place, la tant redoutée convergence des catastrophes qui s’appuie sur un ensemble de facteurs, tous bien identifiés, et dont les principaux sont l’ubérisation accélérée de l’économie et, surtout, des dettes impossibles à rembourser.


Autre facteur aggravant : la dévirilisation de l’homme européen, soutenue par le sentiment de culpabilité qui lui a été instillé jour après jour depuis la fin du dernier conflit mondial par des forces auxquelles nul responsable n’a voulu prêter attention. Enfin, et pour couronner le tout, l’accueil irresponsable sur nos sols de populations étrangères qui, par leur nombre, entendent, grâce à la complicité active d’une part non négligeable de notre population, nous imposer leur culture.


Il est désormais certain que plus rien ne sera comme avant. La France que nous avons connue est réellement en train de mourir sous nos yeux. De plus, tel que l’affirme pertinemment le célèbre essayiste libanais Nassim Nicholas Taleb dans son livre « Antifragile », nos sociétés modernes sont arrivées à un tel degré de complexité, qu’elles sont devenues extrêmement fragiles et que, contrairement au passé, il en faudrait vraiment peu pour qu’elles ne s’effondrent. Joseph A. Tainter fait la même observation dans son célèbre ouvrage au titre explicite : « L’effondrement des sociétés complexes ».


Les excès commis par le petit nombre d’une élite transnationale, confortée dans son détournement des richesses à son profit par l’ignorance et la bêtise soigneusement entretenue d’une partie de nos populations, nous ont conduit à l’esclavage de la dette. Certains, et non des moindres, affirment sans rire qu’il nous suffira de réclamer un rééchelonnement de celle-ci (jusqu’à quand ?), ou d’exiger une restructuration, façon élégante de nommer un défaut partiel ou total, comme si nous étions en situation d’exiger quoi que ce soit. Bien sûr, d’autres rappelleront qu’au cours de l’histoire, bien des conflits ont été déclenchés pour, justement, se soustraire à la dette devenue insupportable ; c’est effectivement exact, mais il s’agissait essentiellement de pays encore suffisamment forts pour se le permettre, ce qui n’est plus notre cas.


Scenario possible

Il est difficile de ne pas imaginer que l’offensive de l’invasion migratoire en cours pourrait être directement liée à notre situation de débiteurs définitivement insolvables. Si guerre il y a, - et il semble, hélas, que celle-ci soit inévitable -, son déclenchement ne servira non pas à stopper le service de nos dettes, mais, tout au contraire, à recouvrer celles-ci.

Mais comment, s’écrieront certains, puisque nous sommes dans l’incapacité de les rembourser ? En réalité, les monnaies fiduciaires ne sont pas le seul moyen d’effacer une dette, ceci d’autant plus que l’érosion continue de celles-ci les rend infiniment moins attrayantes que par le passé. Ce qui, par contre, peut les remplacer avantageusement, ce sont les biens tangibles, au premier rang desquels se trouve la richesse immobilière et foncière de nos pays européens. Le pactole est proprement colossal et a toujours attisé les convoitises cosmopolites… Sachant, qu’en gros, nos créanciers sont, pour la plupart, répartis en deux groupes : les institutions financières anglo-saxonnes, et les pays riches du Moyen-Orient, il est difficile de ne pas soupçonner que nous sommes, en Europe, l’objet d’un plan concerté de longue date, destiné à se « rembourser sur la bête », et, justement, sous la forme de biens tangibles.


On m’objectera qu’il existe toute une panoplie de lois internationales protégeant les peuples autochtones, lois déjà bien mises à mal par l’arrivée imposée et continue de « réfugiés » fuyant des pays qui ne sont même pas en guerre… Mais les lois, comme on le sait, sont faites pour être contournées, et l’histoire nous l’a démontré à de nombreuses reprises. Il suffit de créer les conditions permettant de ne pas en tenir compte.

Détail plus qu’inquiétant, l’administration US, négocie, en ce moment même, son retrait de l’ONU. Ce « machin », comme disait de Gaulle, loin de refléter la perfection, avait cependant pour avantage d’avoir créé un cadre légal auquel chaque pays membre devait se référer. Il semblerait que d’autres pays souhaitent faire de même, ce qui ouvre des perspectives angoissantes.


Libérés de la « tutelle » de l’ONU, ces pays, et non des moindres, auraient enfin les coudées franches pour organiser, en Europe, le plus grand chaos de son histoire, entendez la guerre civile ethnique et religieuse, sans foi ni loi, aboutissant, tout simplement, à la disparition totale de l’homme blanc européen bien incapable de se défendre, et, du même coup, de celle de la religion tant honnie, le Christianisme.

Mené à son terme, un tel génocide, dont ce à quoi nous assistons aujourd’hui pourrait être la mise en place des premiers préparatifs, pourrait entraîner, - et ce serait probablement le but recherché -, jusqu’à la disparition des ayants-droits, ouvrant ainsi la porte à l’accaparement pur et simple du pactole colossal de la richesse foncière et immobilière des pays européens. Quant aux populations encore présentes sur nos sols et qui auraient fait le job, on peut faire confiance à l’expérience séculaire en coups tordus du monde anglo-saxon, allié aux potentats moyens et proches orientaux, pour réactiver les guerres tribales entraînant, à terme, leur disparition.

Que Dieu nous garde !

F.P.P.


 
 
 

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