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Combattre les effets, implique aussi de combattre les causes

  • vr4429
  • 27 févr. 2017
  • 6 min de lecture

Emeutes, jets de cocktails Molotov sur les policiers, vitrines brisées, haine de la France, n’aboutissant qu’à cette éternelle répétition de la « riposte graduée » de nos forces de l’ordre, par ailleurs exténuées, mais qui ne menacent pas un instant, en plein état d’urgence, de faire la grève du zèle, soulèvent des interrogations angoissantes sur la suite des événements… Classe politique et journalistes complices pour jeter de l’huile sur le feu, et, malgré l’aggravation continue du climat ambiant, sans qu’aucune mesure sérieuse ne soit envisagée, hormis la visite du chef de l’Etat au petit Théo sur son lit d’Hôpital, c’est peu de dire que du côté des français de souche et surtout de cœur, la colère, ces derniers jours, se transforme en haine, allant jusqu’à proférer des menaces très explicites pouvant conduire à des situations extrêmes. Mais n’est-ce pas le but recherché ? Tout le démontre, raison de plus pour ne pas nous laisser emporter.


Du danger de se focaliser sur l’ennemi visible

Piero San Giorgio, célèbre écrivain et bloggeur survivaliste nous a, dans une de ses vidéos récentes, fait part de son point de vue : « Si ton voisin jette des serpents dans ton jardin, tu vas, bien sûr, t’employer à tuer ces bestioles ou à faire appel à une entreprise spécialisée pour t’en débarrasser. Si le lendemain et les jours suivants, ton voisin continue son petit jeu, tu vas continuer à faire ce qu’il faut pour te débarrasser des serpents, mais tu vas finir par te décider à aller le voir pour avoir une franche discussion… ». Son illustration pleine de sagesse colle parfaitement à notre situation ; Nous manquerions singulièrement de prudence si nous foncions tête baissée dans le piège que l’on nous tend sans faire l’effort de demander des comptes. Les vrais tireurs de ficelles n’attendent que ça !


Ne retombons pas dans les travers du passé

Si nous souffrons de la situation actuelle, nous n’avons d’abord à nous en prendre qu’à nous-mêmes de ne pas avoir été assez attentifs aux transformations d’apparence anodines qui se passaient pourtant sous nos yeux des années durant. Nous, français de souche et patriotes, avons sans arrêt laissé faire, avons accordé notre confiance au-delà du raisonnable, nous sommes gargarisés jusqu’à plus soif de république, de démocratie, de « droits de l’homme », de « vivre ensemble », d’égalité, de fraternité, de liberté, autant de concepts désormais abstraits auxquels on a fait perdre petit à petit leur grandeur du passé. Malgré cela, nous acceptons toujours sans broncher, que ce qui est pourtant devenu une vaste fumisterie clientéliste, soit toujours revêtu de l’auréole du sacré. Eh bien non, il faut que cela change ! Nos capacités d’analyses, notre degré de conscience de la situation globale, ont besoin d’être grandement amplifiés afin de faire face aux dangers qui nous menacent. Nous ne pourrons le faire qu’en nous affranchissant des trop nombreux carcans intellectuels qui étouffent la moindre de nos initiatives. La vraie résistance commence par là.


Face au chaos, comment réagir ?

Surtout pas en se laissant entraîner, comme des enfants, là où on entend bien nous mener, à savoir la guerre civile ethnico-religieuse pour laquelle, reconnaissons-le, nous ne sommes pas, ou presque pas préparés, ce que n’ignorent pas les tireurs de ficelles. Il est bien entendu hors de question de tendre le cou à l’égorgeur sans réagir, mais il faudrait que chacun veille avec un soin méticuleux à ce que nos réactions se cantonnent le plus longtemps possible dans la stricte défensive, et garder présent à l’esprit que nous sommes bel et bien une partie du problème, que cela se soigne, malgré la propagande politiquement correcte qui s’intensifie et son corollaire, les risques judiciaires. Il est encore trop tôt pour parler d’offensive contre-révolutionnaire, mais des signaux encourageants se multiplient, laissant penser qu’elle se met doucement et solidement en ordre de marche.


Que du nouveau dans le traitement des causes !

Par définition, ceux qui nous manipulent, restent toujours cachés dans l’ombre, redoutent plus que tout d’être exposés à la lumière, ou plutôt qu’on connaisse leur véritable nature qui n’a que peu de rapport avec celle de la plupart des gens, qui sont aussi leurs victimes. Leur pouvoir a, de tout temps, reposé sur cette impossibilité de les distinguer. Ne perdons pas espoir, il nous sera bientôt possible de les désigner froidement pour ce qu’ils sont : de véritables vampires fauteurs de guerres sans foi ni loi, à l’ambition démesurée, totalement insensibles à la misère humaine, souhaitant ardemment le chaos et la destruction, pour s’arroger tous les droits et toutes les richesses ! Dans ce but, ceux-là ont parfaitement réussi à s’infiltrer dans tous les rouages de la société et jusqu’aux sphères du pouvoir. Nous en croisons tous les jours, nous leur parlons, sans nous douter un seul instant de leur extrême dangerosité, car nous ne disposions pas, jusqu’ici, des moyens qui auraient pu nous le permettre.


Mais la situation est en train de changer : grâce à internet et à la Providence, une véritable riposte s’élabore peu à peu tout autour de la planète, regroupant ceux qui ont pu franchir certaines lignes de défense, permettant de mieux cerner les origines du mal absolu ; il est désormais plus facile de remonter des effets à leurs causes. Des constantes ont été relevées, des croisements de connaissances sont effectués avec succès, des avancées inouïes ont été permises dans les domaines de la psychologie et de la psychopathologie, allant jusqu’à la naissance d’une nouvelle science baptisée la ponérologie politique, si bien que ceux qui ont toujours pu manœuvrer bien au chaud derrière un paravent solide, ne le pourront à terme tout simplement plus. Grâce aux travaux du Dr Hervé Cleckley, d’Andrew M. Lobaczewski, et de bien d’autres, ressortis des placards dans lesquels ils avaient, pour certains, été enfermés, les différentes variétés de sociopathes, psychopathes et autres malfaisants ont pu être isolées comme on le fait pour les souches de virus. Par ailleurs, le Dr Carl Gustav Jung, qui n’était pas que le médecin et psychanalyste que l’on connait, mais aussi un grand spécialiste du Christianisme et un alchimiste de premier plan, nous a légué une œuvre colossale qui, pour une partie d’entre elle, commence à peine à être exploitée. Celle-ci, véritable joyau de la Connaissance, a la particularité unique de servir de point de rencontre entre des sciences qui, auparavant, ne se fréquentaient guère ou se dénigraient mutuellement. Grâce à Jung, des universitaires de plusieurs disciplines ont enfin accepté de travailler main dans la main avec des ésotéristes chrétiens, des gnostiques, des religieux de l’Orthodoxie orientale, des théologiens, des médiévistes, dans une émulation timide mais prometteuse, redonnant progressivement droit de cité aux sciences traditionnelles dont nous avons cruellement besoin aujourd’hui.


Bien sûr, il y a encore loin encore de la coupe aux lèvres, ne nous privons donc pas, par impatience ou par pure bêtise, de la chance que nous avons de reprendre ainsi contact avec la réalité d’une situation globale qui nous a échappé jusqu’ici, et pensons aussi à ceux et celles qui sont en position de prétendre aux responsabilités de demain, et pour l’efficacité desquels l’approfondissement de la véritable nature du mal est un passage obligé. Ne gâchons pas leurs chances, puisque tout sera examiné à la loupe, calmement, sans passion débordante ni violence, mais avec une détermination sans faille. Brandon Smith, un des tenants de la contre-offensive, talentueux analyste du blog « Alt-Market.com », a magistralement localisé la nature du problème ayant permis la sujétion et l’esclavage de nos populations. Dans son récent article « Comprendre le Mal : du globalisme au Pizzagate », il affirme : « La plupart des gens sont aisément équipés pour reconnaître le mal quand ils le voient directement. Ce pourquoi ils ne sont pas équipés et doivent apprendre de l’environnement, c’est de savoir reconnaître le mal déguisé en droiture. Les actes les plus odieux de l’histoire sont presque toujours présentés comme une obligation morale – un chemin vers un plus grand bien ».


Eh bien les gens, tout au moins ceux qui les représenteront dans un premier temps, pourront voir le mal là où il se trouve, caché ou pas ! Contrairement à ce que l’on se tue à vouloir nous faire croire, il n’est pas utopique du tout de vouloir rétablir, l’ordre et la vérité ; évitons donc de faire le jeu de nos adversaires et faisons confiance au proverbe chinois qui dit : « assied-toi au bord du fleuve, attend, et tu verras passer le cadavre de ton ennemi ». F.P.P.



 
 
 

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