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Zoom sur les naissances en Ile de France

  • vr4429
  • 13 mars 2017
  • 3 min de lecture

Un coup de pinceau supplémentaire pour brosser le portrait de la population française : focus sur l'Ile de France. En 2015, l'Ile de France totalise 18% de la population du pays et près d'1/4 des naissances (23%). Dans cette grande Région très peuplée, seulement la moitié des naissances est issue de 2 parents nés en France (voir graphique ci-dessous). L'autre moitié des naissances est issue de 2 parents nés à l'étranger (28%) et de couples dont 1 des 2 parents est né à l'étranger (21.7%). Ainsi, 39% des parents des enfants nés en Ile de France en 2015 sont nés à l'étranger. Ce chiffre témoigne avec éloquence de l'immigration/submersion que connaît notre pays, savamment occultée par l'oligarchie. Rappelons que tous les enfants nés en France sont français par le droit du sol.

Il est nécessaire de retraiter ces données de l'INSEE, sur longue période et en glissement, pour approcher l'origine ethnique des naissances. Ce faisant, il en résulte que les naissances issues de "2 parents nés en France" sont pour une très grande part le fait de parents issus de l'immigration (environ la moitié selon mon retraitement). Ces parents nés en France et issus de l'immigration sont les descendants des flux migratoires et naissances qui en proviennent, cumulés de 1976 à nos jours (1976 : début du droit au regroupement familial). L'endogamie et le taux de fécondité élevé des populations immigrées jouent un rôle d'accélérateur très puissant dans cette mutation démographique fulgurante.

Paris n'échappe pas au sort de l'Ile de France :


Malgré l'absence de statistiques ethniques publiées, qui nous contraint à des estimations "à la louche", le constat n'en demeure pas moins indiscutable : la population issue de l'immigration remplace l'ancienne dans des proportions vertigineuses. La confirmation de la rue est à cet égard sans appel, partout ou presque en Ile de France. Et même au regard des chiffres INSEE ici évoqués, qui offrent un tableau en trompe l'œil minimisant considérablement le remplacement de peuple, il est parfaitement limpide que la submersion va encore s'amplifier drastiquement dans les années qui viennent.


Très largement majoritaire en naissances (environ 75% en 2015 selon mes estimations) et présente depuis si peu de temps sur le territoire de l'Ile de France, cette population issue de l'immigration fait naturellement peuple à côté du peuple. L'appartenance politico-religieuse agit maintenant comme un épais ciment additionnel pour faire peuple. Ce ciment politico-religieux, qui s'ajoute au ciment ethnique, sonne définitivement le glas de l'assimilation et de l'intégration pour une partie significative de cette population. Ainsi, dans la foulée de la submersion par le nombre, se fortifie chaque jour la tentative très tenace d'un remplacement civilisationnel.


Aucune personne saine d'esprit ne peut croire qu'il est possible de remplacer un peuple en seulement 40 ans sans déstabilisation majeure voire incontrôlable. En particulier lorsque le peuple immigré substitue progressivement ses mœurs et ses lois à celles du peuple. De surcroît, nous devons nous poser cette question capitale : le futur vote majoritaire des bébés français 2015 exigera quelle Loi pour la France, quelle place du religieux, quel statut pour les femmes ?


Ce cataclysme est l'œuvre des gouvernants de la France qui ont tout fait pour qu'il advienne. Il est maintenant impérieux de décider sur-le-champ la fin du droit du sol, la fin du regroupement familial (récemment élargi par le gouvernement), une immigration maîtrisée, minimaliste, choisie, et le rétablissement des frontières nationales. C'est maintenant ou jamais, on l'aura compris.

Nathalie Rivage



 
 
 

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