Echec au fou !
- vr4429
- 28 mars 2017
- 3 min de lecture

Furieux. Écœuré. Dégouté. La liste pourrait s'allonger mais ces trois sentiments résument bien l'état d'esprit de votre serviteur. Jamais notre pays n'était tombé si bas. Jamais le monde ne s'était tant ri de nous. Jamais nos trois couleurs n'avaient été autant salies par les hommes qui les représentent ou aspirent à le faire. Que reste t-il de l'honneur français ? De la force de la parole donnée ? De la valeur de l'engagement pris ? Des cendres. Des miettes.
Un vague souvenir. Notre France, notre Patrie, la terre de nos pères n'est plus désormais que la catin de proxénètes politiques avides de pouvoir et d'argent ; la poubelle du Tiers-monde dont on accueille les ressortissants sous couvert de droit d'asile avec la double arrière-pensée de peser à la baisse sur les salaires et de faire comprendre aux populations blanches que l'avenir de leur pays sera métissé ou ne sera pas. Nos couleurs, jadis respectées - parce que respectables - ne sont plus aujourd'hui que synonymes de tricherie, de mensonge, d'affaires, de corruption, de renoncement, de tergiversation, de lâcheté... A l'heure où même le peuple de France n'est plus qu'un agglomérat de communautés aux intérêts aussi distincts que contradictoires, dépourvues de sentiment d'appartenance nationale, il ne se trouve pas un homme derrière qui se ranger fièrement. Pas un. Remarquez, encore faudrait-il que ces gens et leurs proches aient une colonne vertébrale idéologique qui ne se voit pas affectée d'une scoliose aiguë sitôt la gamelle se déplaçant sur l'échiquier politique.
Parlons en justement de l'échiquier, et de son médiatique fou habité vers qui se tournent tout à la fois Robert Hue (cocotte), Alain Madelin, Monseigneur De Villepin, Jean Yves Le Driand, une gentille fournée de sénateurs UDI, des députés par paquet de dix, un flot de girouettes de toutes obédiences venues de la société civile... et peut-être même le lamentable Manuel Valls ! Jamais mouvement politique n'aura été aussi accueillant.
Nul besoin d'avoir des idées ou des convictions : il vous suffit d'ovationner le "Christ" ressuscité qui répand devant vous, les bras en croix et les yeux révulsés, le nouvel évangile.
J'en veux terriblement à ceux de mes compatriotes qui acclament bêtement cet hommage sur pieds à la vacuité.
J'en veux de toutes mes forces à mes compatriotes bobo imbéciles dont la seule raison d'être est de se vêtir à la dernière mode, de s'afficher dans les endroits branchés et d'obtenir promotion sociale sur promotion sociale, pendant que notre identité se meurt et que notre pays sombre dans le chaos. J'en veux à notre jeunesse aveugle qui défile pour les "Droits de l'Homme" - nouvelle religion mondiale - au cri de "Tout le monde déteste la police".
Je vous en veux, traitres à la patrie, de militer pour l'accueil d'immigrés clandestins, de soutenir l'islam comme si cette secte perverse pouvait faire partie de notre paysage ; d'ignorer nos pauvres mais d'organiser des collectes pour de faux réfugiés...
J'ai honte de la jeunesse de mon pays.
J'ai honte de mes compatriotes mous et aveugles qui gobent jusqu'aux plus grosses aberrations, dès lors qu'elles sont débitées par la divine bouche du poulain de François Hollande...
Ne rêvez pas, idiots utiles de la mondialisation : les nations du monde ne vont pas se fondre dans un super-état bisounours dans lequel nous serons tous frères et amis. Nous ne sommes pas pareils, nous ne sommes pas compatibles, nous ne sommes pas miscibles les uns avec les autres. Au contraire, nous protégerons notre culture (qui existe, Monsieur Macron !), notre langue, nos traditions, notre Histoire, contre tous les ennemis de l'extérieur comme de l'intérieur.
Nous le ferons s'il le faut par les armes et dans le sang parce que notre pays passe avant ceux des autres, et que c'est ainsi que réagissent toutes les nations sensées. Alors à vous tous, mollassons sans cervelles ; à vous tous, idiots utiles du multiculturalisme, sachez que votre "christ" ne passera pas. Pas sans briser nos lignes. Nous, patriotes, ne subirons pas les cinq années qui viennent sous la gouvernance de cet illuminé.
Nous, patriotes, ne respecterons pas le résultat des urnes si cet amateur de grand-mères réussissait par sa fourberie à pousser les gens à voter pour faire de lui leur Président. Nous entrerons en sédition, nous combattrons ses rangs, ses soutiens, ses projets, ses idées, l'avenir sans espoir qu'il porte pour nos enfants. Nous entrerons en guerre pour préserver ce qui reste encore de notre belle France, avec l'indéfectible espoir de lui rendre une fois la victoire acquise sa grandeur passée.
Nous, les patriotes, serons les artisans de la Nouvelle France. Une France digne, une France puissante, une France crainte et respectée dans laquelle les valeurs saines seront mises à l'honneur et imposées à chacun. Choisissez votre camp, Messieurs Dames, et choisissez le vite. C'est un conseil.
Philippe Henri
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