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Stop ou encore ?

  • vr4429
  • 5 avr. 2017
  • 2 min de lecture

Les chiffres des flux migratoires vers la France sont grandement sous-évalués, notamment en raison de l'immigration illégale. Mais on ne peut guère mentir sur les naissances. Quel déferlement de mamans 2015 nées à l'étranger ! Sans compter qu'une bonne part des mamans nées en France ayant donné naissance à un enfant en 2015 est aussi issue de l'immigration. Pour éviter une liste à la Prévert des territoires, je vous propose de lire les trois graphiques. Ah ! Les mamans ! Ce sont surtout elles qui, dans les premières années de la vie de l'enfant, transmettent de manière indélébile la langue maternelle et la culture…


Ayons une pensée pour la lointaine Mayotte, l'île submergée, abandonnée à son immense désarroi. Ajoutons que la Guyane n'est pas en reste en matière de submersion migratoire porteuse de paupérisation et de désintégration sociale et culturelle (une superficie équivalente à 15% de celle de l'hexagone, à plus de deux fois celle de la Région Centre). La plupart des économistes analysent la situation désespérée de ces deux territoires en ignorant le paramètre de l'immigration. Car inclure ce paramètre dans l'analyse aboutirait à la conclusion incontournable qu'il est vital de supprimer le droit du sol. Or cette conclusion serait un blasphème pour ces esprits enchaînés à leur dogme.



Exclure d'une analyse un paramètre clé conduit inévitablement à des diagnostics erronés, et donc à des décisions inopérantes et nocives. Les experts à qui l'on tend le micro n'évoquent pas le lien pourtant évident entre la crise du logement en France et l'immigration massive. Ils refusent la corrélation entre le chômage de masse français et les flux migratoires augmentés de leur abondante descendance. Dans leur analyse des comptes de la Nation, ils sanctuarisent le coût social de l'immigration extensible à l'envie, le minimisent, et s'interdisent de l'envisager comme une variable d'ajustement, contrairement aux retraites par exemple. Idéologie oblige. Au diable la pertinence.


Les chiffres des naissances actuelles en métropole nous montrent également ceci : un territoire comme la Seine-Saint-Denis n'est pas une enclave hermétique flanquée d'un destin à part, bien au contraire. C'est plutôt un espace pilote, ayant juste un temps d'avance. Indicateur avancé, ce territoire révèle la tendance lourde qui est à l'œuvre dans une très grande partie de la France. D'autres départements de l'Ile-de-France approcheront bientôt la situation actuelle de la Seine-Saint-Denis, qui fait la course en tête. Puis se sera le cas d'autres départements encore. A moins que cette folle euthanasie de notre pays, organisée par ses dirigeants, ne cesse au plus vite. Mais il faut pour cela une volonté politique soucieuse du destin de la France et des français.

Les français savent-ils ce qui arrive à leur pays ? Les politiques, les actuels candidats à la magistrature suprême, eux, savent.


Mais pour la plupart, ils se gardent bien de nous informer de ce désastre qu'ils choisissent depuis longtemps pour nous et pour nos enfants.

Alors, stop ou encore ? Réponse très bientôt.


Nathalie Rivage




 
 
 

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