Dimanche, c'est eux ou nous !

Paris, le 21 avril 2017

Patriotes,

Chacun de nous est au courant de ce qui vient de se passer. Une fois de plus, les fous d'Allah ont frappé notre pays, ouvrant le feu sur nos forces de l'ordre, ceci au milieu de l'avenue la plus surveillée au monde…

Cette attaque, on ne pouvait pas la prévoir. On ne pouvait pas l'éviter. Ni celle-ci ; ni les autres. On ne le peut pas parce qu'il est impossible de se prémunir contre les agissements d'hommes et de femmes qui meurent le sourire aux lèvres au nom de leur prétendue foi.

Des Kouachi, des Coulibali, des Merah, nous en aurons tant que nous continuerons de croire que la République droits-de-l'hommiste, chère à nos élites bien-pensantes, est en mesure de nous protéger. Des massacres au camion, des fusillades aux cafés, des meurtres dans les écoles, nous en aurons tant que nous ne choisirons pas de mettre quelques uns de nos beaux principes entre parenthèses pour protéger les nôtres contre cette religion meurtrière qui ne recule devant rien !

Comme vous, mes amis, je suis attaché à la Liberté. Comme vous, je suis un défenseur de l'Egalité. Comme vous encore, je crois à la Fraternité. Mais si, pour que nos enfants ne finissent pas sous les roues d'un camion, nous devons priver arbitrairement de liberté ceux qui nous détestent ; si, pour protéger notre identité, nous devons traiter nos ennemis en monstres et non en hommes ; si, pour sauver la France, nous devons affirmer haut et fort qu'à partir de maintenant, les français passeront d'abord et que les autres viendront ensuite, et encore si nous le voulons bien,

ALORS NOUS AVONS LE DEVOIR DE LE FAIRE !

Nous avons le devoir de terroriser nos ennemis ! Nous avons le devoir de briser leurs vies ! Nous avons le devoir de mettre en place l'Etat fort et puissant devant lequel tout musulman radical rasera les murs et se fera si petit qu'il en deviendra invisible !

Et ça, patriotes, nous en avons le pouvoir. Nous le pouvons dès dimanche en nous déplaçant en masse pour aller voter. Nous le pouvons dès dimanche en portant au second tour le (la) candidat(e) qui ne craindra pas de dire "Merde !" à l'Europe et "Vous allez souffrir" aux ennemis de notre patrie ! Le temps des câlins et des bisous est révolu. Le temps des fleurs et des bougies appartient au passé. Aujourd'hui, c'est avec force et détermination que nous nous dressons face à ceux qui veulent nous tuer et que nous portons fièrement à la tête de la Nation le (la) chef qui n'aura que faire des prétendus "droits" de nos bourreaux !

C'est maintenant ou jamais. Nous avons devant nous l'ultime occasion de redresser le pays. Nous avons devant nous la dernière chance de nous armer politiquement face à la menace islamiste. Si nous la manquons, s'en est fini de la paix… Alors à ceux qui craignent pour leur tranquillité ; à ceux qui s'inquiètent pour leurs avoirs bancaires ; à ceux qui redoutent les débordements ; demandez-vous dans les 48 prochaines heures si vous souhaitez pouvoir continuer à vivre paisiblement grâce à un Etat digne de ce nom, ou si vous préférez, avec vos petites mains, affronter une guerre civile pour laquelle vous n'êtes absolument pas prêts…

Si vis pacem para bellum

Philippe Henri