Il était une fois la France
- vr4429
- 31 mai 2017
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C’était mieux avant, nous avons tous entendu cette expression que déjà les Romains prononçaient à l’envie ( laudator temporis acti) ; mais force est de constater que depuis quelques décennies cet adage nostalgique a pris de l’ampleur au regard de la chute de notre civilisation. Enfin, plus qu’une chute je parlerais de déclin voire de renoncement.
Nous avons renoncé pour bon nombre d’entre nous à vouloir dire les choses les plus désagréables. Nous avons renoncé à notre simple et pourtant originelle fierté d’appartenir à un peuple, une nation, une idée de la liberté qui comme bien des fruits et des légumes, connait son apogée ici dans cette partie occidentale de l’Europe. France terre des celtes, terre des gallo romains, des francs, des burgondes, des wisigoths, des normands,… Mais pas une terre des arabo andalous ! Ils n’ont pu prospérer ici dans ce petit bout d’Europe à l’époque de leurs conquêtes car cette terre les rejetait déjà. Une terre féconde bien loin de leur désert d’où ils n’auraient jamais dû sortir. Une terre nourricière riche de Dieux en tous genres mais pas d’un seul dont le prophète possédait un sabre et un cheval de guerre. Une terre source de mélanges mais dans le plaisir de vivre pas celui des interdits.
Une terre de la liberté pas celle des tabous et de l’hypocrisie sexuelle de cet obscurantisme d’un autre âge. Une terre de culture dans l’amour de l’universalité pas du dogme vengeur de certains religieux enturbannés qui déversent la haine d’eux-mêmes sur les autres par simple frustration de vivre dans une âme finie de musulman. Je ne voudrais pas, je ne voudrais jamais écrire un jour : « il était une fois la France » depuis ma retraite dans un lointain pays où les valeurs de l’occident seraient encore préservées. Je ne voudrais pas avoir la nostalgie de n’avoir pas pu agir quand je le pouvais encore.
Comme beaucoup d’entre nous, je ne sais pas encore comment faire, mais le « pourquoi » le « pour qui « et le « quand » font déjà partie de moi depuis toujours. Comme une graine enfouie dans la terre, notre volonté était en sommeil. Il fallait que le climat devienne hostile, délétère pour que nous sortions de terre. Levons nous mes frères et sœurs d’armes pour que vive notre France et pas un vague souvenir une fois que ces peuples d’Afrique auront fini leur œuvre hégémonique sur nous. Après la guerre du ventre, ils ont décidé de mener la sale guerre. Celle invisible, sans uniforme, sans visage, du terrorisme aveugle et infiltrée au sein de la société. Cette nouvelle 5è colonne ne pourra être défaite que d'un formidable sursaut de nos concitoyens. Le dernier en date remonte à 1789 ; il fut violent, il fut sanglant, il fut constructeur, il fut salvateur.
Qu’un « Sang impur » à vivre ici « abreuve nos sillons… » tel est le chant qui un jour redonnera à la France, terre de combat et de jouissance, de passion et de raison, de vins et de chansons, de gargantuesques agapes grâce au cochon, en un mot comme en cent, une terre de vie où ni dieu ni diable n’auront jamais raison.
Hubert Denolly
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