Jour après jour, semaine après semaine...
- vr4429
- 5 juin 2017
- 3 min de lecture

Chaque semaine, si ce n’est plus fréquent nous apporte sa nouvelle élucubration écolo-politico-sociétale.
La semaine dernière ce fut la remise en cause des devoirs scolaires à domicile. On aurait pu penser que cela obéissait à un souci de préservation des enfants afin que moins fatigués ils soient plus performants en classe. Mais non, il ne s’agissait que de réduire les inégalités entre ceux issus de milieux favorables à un épanouissement culturel et les autres.
Bien évidemment ce fut l’occasion de remettre sur le tapis la sempiternelle question de la suppression des notes. En attendant peut-être d’envisager de charger de handicaps ceux qui auraient la chance de bénéficier d’un meilleur QI ? Ces deux mesures ayant pour unique objet de satisfaire l’obsession égalitariste d’une gauche extrême mais qui s’ignore comme telle et n’est donc jamais qualifiée de la sorte, ne visent qu’à concourir au nivellement du « citoyen » jusqu’à en faire un être malléable vidé de son libre arbitre et de tout esprit critique. Cette semaine, j’apprends que la pollution sonore générée par la circulation automobile et les engins agraires aurait des effets néfastes sur la faune sauvage. La grenouille verte mâle y perdrait de sa couleur et du pouvoir attractif consécutif sur la femelle qui en subirait une atténuation de sa libido. Ceci aurait donc pour effet de porter atteinte à la démographie de ce charmant batracien dont chaque automobiliste constate quotidiennement la présence aux abords des RN et des RD ! Je veux bien le croare. Je veux bien croire aussi que la faune sauvage est assez « bête » pour s’établir au plus près de ces axes bruyants et autres sources sonores !
La solution, vous l’aurez deviné tout comme moi avant même qu’on me la serve, consisterait bien évidemment à imposer une réduction de la vitesse des véhicules aux abords des lieux tels que landes, grands causses, forêts et tous sites possibles de résidence de petits et grand animaux sauvages. On peut bien sûr imaginer qu’abaisser la vitesse d’un véhicule de 90 à 80 km/h par exemple pourrait peut-être réduire la pollution sonore incriminée dans une proportion bien difficile à évaluer, mais ce qui par contre est aisément concevable et mesurable, c’est l’accroissement du temps de parcours et de la durée de cette pollution sonore ! Il s’agit donc là d’une mesure qui ne serait que plusieurs fois stupide si elle ne visait qu’à la préservation des espèces sauvages, mais qui retrouve son sens si elle vise une nouvelle opportunité de stigmatiser l’homo occidentalis. Et puis, il ne se passe pas une semaine non plus sans qu’on nous révèle l’avènement d’un jeu ou d’un loisir nouveau, cette semaine par exemple on m’a fait découvrir les cafés de jeux de société. Ces exemples sans liens apparents, les devoirs scolaires, la vitesse des véhicules aux abords des gîtes d’animaux sauvages, la promotion de loisirs nouveaux, se rejoignent pourtant sur le fond : leur finalité est la même qui consiste à raboter le sens critique de l’homo occidentalis, à le culpabiliser et à orienter ses sens vers le plaisir lié à la consommation du jeu et du loisir sans cesse renouvelés, de sorte qu’il puisse se rendre compte de la manipulation dont il est l’objet;
Ceux qui sont à la manœuvre derrière les medias dont ils ont la maîtrise, et avec la complicité de quelques ONG - on le sait aujourd’hui – pourront ainsi continuer à faire prospérer une immigration dont les conséquences sur la production auront des effets exactement contraires aux grandes et généreuses idées à dominante écolo socialo moralisante que par ailleurs ils rabâchent inlassablement, et au nom desquelles ils prétendent agir en sommant l’homo occidentalis de s’y conformer.
Réduit à l’état de consommateur compulsif décérébré et mou du genou, dût-il en payer fort cher le prix du sang, il cédera à la manipulation et, petite bougie dans la main droite, petite peluche ou petit cœur de papier dans la main gauche, il bêlera la bouche en cœur « vous n’aurez pas ma haine », « vous n’aurez pas ma colère ». Et vous, pauvres assassins égarés et absous de ce fait puisque taxés de démence pour ne pas incriminer l’islam fanatique, sachez que vous avez définitivement perdu puisque l’objet de votre haine reste là à chanter sur le sol même où vous avez fait couler le sang.
Et tremblez d’effroi car ce qui vous attend c’est la danse qui bientôt viendra appuyer les chants. La danse du ventre ?
Ainsi va l’homo occidentalis courbant la tête, puis l’échine, puis se couchant face contre terre pour mieux offrir son dos à la flagellation des repentances et de la mauvaise conscience par lesquelles on l’asservit chaque jour davantage. JL VILLARD
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