Quimper : le ramadan fait la loi
- vr4429
- 15 juin 2017
- 3 min de lecture

Valeurs et traditions françaises
Combien y a-t-il de musulmans à Quimper, ville emblématique s’il en est de notre Bretagne? Au moins un millier. Principalement des Marocains et des Turcs. Les premiers fréquentent la mosquée de Penhars, les seconds celle de la rue de Douarnenez (en breton : doua an enez, c’est-à-dire « terre de l’île » ; rien à voir – au moins pour l’heure… – avec l’arabe maghrébin douar qui signifie « campement nomade »).
Un millier de mahométans, donc, et certains d’entre eux qui, semble-t-il, supportent mal que les autochtones, les non-musulmans, n’observent pas le ramadan. Dans le quartier ethnique de la ville, Kermoysan, les clients d’un établissement ont ainsi été « interpellés » par des jeûneurs qui leur ont intimé l’ordre de « ne pas boire et de ne pas manger devant eux ». Un patron de restaurant a reçu des appels lui demandant de fermer son établissement en journée « pour ne pas choquer la communauté ».

Le grand remplacement
Nous avons ainsi de très nombreux témoignages de villes où, « la communauté » étant importante – voire majoritaire –, c’est la charia qui s’impose, même aux musulmans qui ne pratiquent pas : réflexions menaçantes, menaces directes, passages à l’acte. Un observateur de l’islamisation galopante de notre pays confirme : « La scène qui se passe à Quimper est à une petite échelle, mais des scènes comme celle-là ont lieu systématiquement dans de nombreux quartiers à forte population musulmane, dans toutes les grandes villes de France. Ces musulmans ne font qu’appliquer leur religion. Il suffit de voir ce qui se passe en cas de nonrespect du ramadan dans les pays musulmans. » Nous évoquions récemment (Présent du 7 juin) le cas de l’Algérie où l’on pourchasse les « dé-jeûneurs » kabyles. Des pays jusqu’alors tolérants, comme la Tunisie (du temps de Bourguiba, restaurants et cafés restaient ouverts pendant le ramadan), traquent désormais férocement les contrevenants. Quatre Tunisiens viennent ainsi d’être condamnés à un mois de prison pour « outrage public à la pudeur » : ils avaient mangé un sandwich dans un jardin public…
Même répression au Qatar, au Koweït, au Maroc (naguère très tolérant), en Egypte (où l’on accompagne le ramadan de massacres de Coptes), le pompon revenant à l’Arabie saoudite avec flagellations et lourdes peines de prison à la clef. Mais ça, c’est là-bas. Le problème, c’est que ça se répand et se banalise en France et en Europe. Notamment en Grande-Bretagne (Londres à un maire musulman champion de la tâqiya) où le calendrier scolaire a été adapté – et imposé aux non-musulmans – pour être en règle avec la stricte observance du jeûne moslem. Un internaute de cette Bretagne (où l’on vote suicidairement Macron) écrit : « Il est évident que la population quimpéroise change, et de plus en plus vite.
Chaque semaine, de nouveaux Africains débarquent à la gare. Ne nous faisons aucune illusion, l’âme bretonne s’en va, le particularisme breton, ou ce qu’il en reste, va fondre complètement. Voyez la population parisienne de 2017… Le fait que nous soyons sur le territoire historique appelé Bretagne ou Breizh ne changera rien. Resteront les noms de lieux et c’est tout. Et tout cela se passe sous les applaudissements de certains militants bretons… ». Alors ? Alors prendre exemple sur des hommes debout : les Corses !
ALAIN SANDERS
alain.sanders@present.fr
Comments