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Confiance aveugle et abandon du bien commun

  • vr4429
  • 7 août 2017
  • 3 min de lecture

Libre répression

La critique de l'islam en France expose aux risques de poursuites judiciaires, d'atteinte aux biens et à la personne, de persécutions, de mort professionnelle dans certains milieux, de devoir fuir sa résidence, et de mort tout court. D'autres pressions et violences sont exercées, cette fois pour faire appliquer les interdits islamiques vestimentaires, alimentaires, de mixité, et autres interdits. D'autres pressions encore s'acharnent à effacer les marqueurs de nos traditions. Les attentats et attaques islamiques complètent la panoplie de la peur. Ce contexte d'hostilité et de barbarie provoque un exode silencieux vers des lieux non islamisés. De ces fuites résultent des abandons de territoires.


Une forme de répression islamique est donc en cours en France. Son but : bâillonner la critique, obtenir la soumission à la loi islamique ou la fuite. On la laisse monter en régime librement. La plupart des médias et des politiques mentent pour la cacher. C'est ainsi que la loi du silence installée par l'islam devient au final une loi du silence islamo-politico-médiatique à la force écrasante. Imaginons un instant qu'une telle répression soit non pas d'obédience islamique mais chrétienne, alors toute la France intellectuelle, politique, médiatique, serait vent debout. Elle hurlerait comme un seul homme pour défendre la démocratie, la liberté, la République, et pour condamner la barbarie, l'oppression, la religion, l'inquisition. Alors que là, SILENCE …


Irrévocable confiance aveugle

Malgré la peur et la répression, beaucoup de français restent persuadés que la paix est indétrônable en France. Pour eux, la Loi de la République qu'ils connaissent depuis toujours est un acquis pour l'éternité. A tel point que les multiples et édifiantes alertes glissent sur leur esprits confiants comme l'eau sur les plumes d'un canard. Je pense souvent à ces français juifs d'avant 1940 qui ne pouvaient entrevoir l'idée d'être abandonnés par ceux qui tenaient les rênes de la République. Ces futures victimes portaient en elles cette même confiance irrévocable qui est aujourd'hui profondément ancrée dans l'inconscient collectif français. Et pourtant ! Notre République est devenue fragile, car une part importante et croissante de la population veut en remplacer la Loi par une Loi politico-religieuse autoritaire, rétrograde, liberticide, voire génocidaire (cf. chrétiens d'Orient). La République est même en sursis quand ceux qui la dirigent concourent à en saper les fondements. Et c'est le cas.


Abandon du bien commun

Loi du silence et confiance aveugle offrent un large laissez-passer à la violence. Aujourd'hui, elles tissent ensemble un futur belliqueux pour la France. La poursuite d'une politique d'immigration massive portant Coran en bandoulière ne peut que donner plus d'assise et plus d'élan à la répression islamique en cours. Cette politique insensée fragilise encore la loi de la République qui sur le terrain s'efface déjà en faveur de la loi coranique, dans de nombreuses parties de notre territoire mais aussi de façon diffuse sur tout le territoire. De plus, l'indigence matérielle réservée à la police et à l'armée confirme avec éloquence que la protection de la population n'est pas une priorité pour les gouvernants et les élus. Ils préfèrent financer le flux migratoire. Il est grand temps de révoquer la confiance aveugle, et de remplacer le silence et la peur par la ferme défense de notre culture et de nos lois. Car nous devons défendre ce bien commun abandonné nos gouvernants et l'oligarchie, à savoir notre paix, notre sécurité, et notre liberté. Il y a quelques jours, des femmes turques manifestaient à Istanbul contre les violences faites aux femmes et pour leur droit de se vêtir librement. Elles sont très courageuses. Elles connaissent la valeur de ce qu'elles ont perdu. A méditer.


Nathalie Rivage


 
 
 

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