Je relisais le camp des Saints.....
- vr4429
- 24 août 2017
- 2 min de lecture

.....avec la préface de Jean Raspail son auteur et notamment la fin et je me disais qu'inconsciemment cela fait des années que je sais que l'une ou l'autre des hypotheses qu'il émet en dehors de la sauvegarde de la Nation en l’état qui parait hautement improbable suggère le regroupement local de communautés soudées par leurs valeurs ou même leur Foi en Dieu car c'est effectivement clair que nos gouvernements ont déjà ABDIQUÉ TOTALEMENT la nation Française telle qu'elle l'est , il est donc INUTILE de vous faire des illusions sur la pérennité de la société telle que vous la connaissez , cela NE PEUT PAS , NE PEUT PLUS ÊTRE valide , il est temps que non seulement vous le sachiez mais que vous en tiriez TOUTES LES CONSEQUENCES , soit que vous acceptiez la soumission , soit que vous organisiez votre fuite sur un autre continent, soit que vous décidiez de survivre ici en créant votre propre communauté qu'il vous faudra défendre par la Force , Jean Raspail souhaite que quelqu'un écrive un livre ayant pour thème la dernière hypothèse , moi je préférerai que ce livre soit le récit d'une histoire vraie et non une fiction…..
Paul
Fin de la préface de Jean Raspail :
« Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration et qui, en 2050, seront définitivement et institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte – je cherche un terme approprié – d’une communauté de la pérennité française. Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité et de sécurité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoires, ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance, si ce ciment-là a tenu. Cela ne plaira pas.
Le clash surviendra à un moment ou à un autre, la mise au pas de ces récalcitrants par des » « moyens démocratiquement légaux, coercitifs, appropriés et musclés. C’est d’ailleurs ainsi que se termine Le Camp des Saints. Et ensuite ? Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Il existe une seconde hypothèse, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs, avec quelques chances qu’au Danemark, aux Pays-Bas, en Belgique, en Suisse, en Italie du Nord, en Autriche, et pourquoi pas ailleurs, en Europe, d’autres isolats semblables rejoignent le mouvement.
À défaut d’y croire, il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Son auteur n’est peut-être pas encore de ce monde, mais sous une forme ou sous une autre, ce livre verra le jour en temps opportun, j’en suis sûr. Mes compliments à Big Other. J.R. » Extrait de: Raspail, Jean. « Le camp des Saints.
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