top of page

Tractage anti-halal à Amiens l’islamisée : les employés musulmans me poursuivent en criant Allah akb

  • vr4429
  • 26 sept. 2017
  • 3 min de lecture

Il y a quelque temps, je me suis rendue seule à Amiens pour effectuer un week-end de tractage contre le halal auprès des restaurants, des bouchers et de la population de la ville.

Moi-même originaire du Nord, une des régions les plus islamisées de France, j’ai choisi de me rendre à Amiens qui est la ville la plus peuplée des Hauts de France après Lille.


Surnommée « La Petite Venise du Nord », Amiens est célèbre pour sa cathédrale Notre Dame classée au patrimoine de l’Unesco, joyau de l’art gothique, et pour son héritage chrétien et pittoresque. Mais Amiens est surtout une ville symbole de la résistance française pendant la seconde guerre mondiale face aux envahisseurs et aux nombreux bombardements allemands qui détruisirent la ville à plus de 60%.


Aujourd’hui, la ville d’Amiens se scinde en plusieurs zones distinctes avec le quartier Nord qui comporte une très forte communauté musulmane. Il existe déjà plusieurs mosquées à Amiens et un projet de construction d’un grand minaret est en cours, projet qui suscite déjà la polémique auprès des Amiénois car il s’agira d’un bâtiment très imposant. Par ailleurs, le terrorisme islamique n’a pas épargné la Picardie, avec des émeutes musulmanes dans le quartier Amiens-Nord et plusieurs arrestations pour incitations au terrorisme.


C’est dans ce contexte que je suis arrivée à Amiens pour distribuer mes tracts contre le halal, tracts qui mentionnaient le danger sanitaire et la cruauté animale de l’abattage halal ainsi que le financement occulte des filières djihadistes par l’intermédiaire de la taxe du halal. Je n’avais pas mesuré la difficulté et les risques auxquels je m’exposais en effectuant seule cette mission de tractage. Sur les 200 restaurants d’Amiens visités par mes soins, la majorité des restaurateurs furent sensibles à cette campagne d’information contre le halal. Mais il faut savoir que les restaurateurs sont eux-mêmes contraints au silence sur le sujet car la majorité des cuisiniers ou aides-cuisiniers des restaurants français sont de confession musulmane. La question du halal ne peut donc pas être abordée sereinement par les directeurs d’établissement de restauration. Un restaurateur d’Amiens a d’ailleurs remis mon tract à ses employés musulmans juste après mon passage dans son restaurant et ces derniers m’ont poursuivie jusque dans la rue au cri d’« Allah Akbar ». Un autre restaurateur m’a également avoué qu’au niveau statistique, sa clientèle devenait aujourd’hui majoritairement musulmane et qu’il serait bientôt obligé de proposer des menus halal au sein de son établissement. Enfin, je me suis rendue dans un restaurant situé au pied de la cathédrale d’Amiens où la Directrice de l’établissement a refusé de prendre mon tract arguant qu’elle s’était convertie à l’islam et qu’elle proposait désormais de la viande halal de qualité dans son restaurant. D’une part, aucun étiquetage halal ne figurait sur le menu d’affichage à l’entrée de son restaurant mais d’autre part, cette femme bénéficie chaque jour de nombreux clients provenant directement de la cathédrale, que ce soit des touristes ou des fidèles chrétiens sortant des offices religieux.


J’ai poursuivi mes actions de tractage dans d’autres petites villes du Nord mais je mesure l’immensité du travail que cela représente, le marché halal étant en pleine expansion en France. Chaque Français se retrouve aujourd’hui avec de la viande halal dans son assiette, jusqu’à nos plus jeunes enfants auxquels sont proposés des gammes halal pour bébé par la grande distribution.


Il y a un combat à mener auprès de nos pouvoirs publics pour exiger un étiquetage halal obligatoire dans tous les restaurants, dans l’attente d’une loi qui condamnera définitivement cet abattage rituel cruel. Il y a aussi des actions à mener sur le terrain, auprès des abattoirs musulmans éphémères qui sont de véritables lieux de torture pour les animaux. Rappelons que cette année, pour la fête de l’Aïd, plus de 250.000 moutons ont été égorgés dans l’indifférence générale.


Enfin, il y a un travail d’information à effectuer auprès des citoyens mais également de l’église catholique française qui adopte depuis des années une attitude islamophile irresponsable pour l’avenir de notre pays. Pour citer le cas d’Amiens, malgré l’islamisation galopante de la ville, le site Internet du diocèse d’Amiens félicite chaque année les musulmans à l’occasion du ramadan et se réjouit de la construction de mosquée dans tout le département. Hélas, l’exemple d’Amiens n’est qu’une illustration de ce qui se passe sur tout le territoire français


Louise Langlois


 
 
 

Comments


Articles récents
Sur les Réseaux
bottom of page