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Nos enfants égorgés et éventrés

  • vr4429
  • 5 oct. 2017
  • 3 min de lecture

Je n'ai pas l'indécente patience des gouvernants et de la plupart des élus de la France. Une patience bien suspecte en vérité. La patience de l'initié qui à l'abri observe froidement le déroulement de ce qui est prévu de longue date. Pourquoi ne sont-ils pas saisis par l'impérieuse nécessité de se dresser vigoureusement pour vraiment protéger les français ? Pourquoi renoncent-ils ainsi à leur devoir avec autant d'opiniâtreté et de constance ?

La liste des morts égorgés, éventrés, décapités, écrasés, poignardés, flingués, défenestrés, explosés, et des mutilés n'en finit plus de s'allonger en France. A Marseille, dimanche dernier, deux très jeunes femmes ont été mortellement frappées à coups de couteau. Parce qu'elles étaient françaises ou parce qu'elles étaient des femmes ? Parce qu'elles n'étaient pas de la bonne race ou parce qu'elles ne portaient pas le voile ? Parce qu'elles étaient de toute évidence non musulmanes ?


Il ne s'agit pas de "terrorisme", mais d'une guerre politico-religieuse islamique ouvertement déclarée. Il ne s'agit pas de "déséquilibrés", mais de barbares dégoulinants de haine envers nous. Ils ne s'agit pas "d'assaillants", mais de djihadistes qui assassinent lâchement des civils sans défense. Les gouvernants et la plupart des élus français déplorent ces "attaques" selon eux inévitables, promettent la plus grande fermeté (blablabla). Mais dans le même temps, ils mettent en œuvre de très nombreux choix politiques qui favorisent fortement, voire encouragent, l'avènement de ces massacres. Et c'est avec une application remarquable que de surcroît ils refusent de qualifier de coranique, donc d'islamique, l'origine de la sauvagerie qui s'abat sur nous.


Ce choix du refus du diagnostic nous condamne. Car cette barbarie maintenant récurrente n'est en réalité que la partie émergée, voire le paravent, du péril majeur qui monte en France : l'expansion fulgurante sur le terrain de la loi islamique. Une loi hors-la-loi, mais une loi au-dessus de nos lois, qui tisse sa toile sur tout notre territoire, avec l'appui assidu de la quasi-totalité des hommes et des femmes politiques.


La compréhension de l'enjeu qui nous occupe ici réside dans l'articulation suivante : l'islam n'est pas une religion, mais une idéologie politico-religieuse structurée dans une loi qui s'incarne dans un régime autoritaire. Une fois atteinte la masse critique en termes de population adepte de cette idéologie, ce régime autoritaire et xénophobe ne cohabite plus avec le régime du pays d'accueil. Bien au contraire, il s'impose et supprime ce qui lui est étranger en faisant usage de la menace, de la peur, de la violence, et de la force du nombre. Si nous ne réagissons pas MAINTENANT, ce régime islamique sera très bientôt en situation d'effacer le nôtre. Voilà ce qui se joue actuellement.


C'est pourquoi nous devons immédiatement cesser d'accueillir des populations se réclamant de ce régime politico-religieux qui nous promet le chaos. Mais nous devons également de toute urgence faire reculer la loi islamique qui imprègne de plus en plus la société française. Il nous faut en effet désislamiser la France, c'est-à-dire repousser tous les marqueurs de la charia, et faire refluer toutes ses conquêtes quasi inexistantes dans notre pays il y a à peine trente ans. Alors seulement, nous nous donnerons la chance de survivre, et de vivre en paix, en liberté et en prospérité. Alors seulement, nous nous offrirons un destin français, épargné par la violence, la souffrance, et la pauvreté.


C'est maintenant que nous choisissons dans quelle société nous voulons vivre et voir vivre nos enfants. Et ne rien faire, ne rien dire, c'est choisir. Nos gouvernants et la plupart de nos élus ont choisi : ils ont opté pour notre dilution dans la loi islamique et pour l'ensauvagement de la France. Dans le même temps, ils s'adonnent avec gourmandise à leur passion : nous détrousser toujours plus en feignant défendre nos intérêts. Tout un art. Dans leur esprit, notre travail et notre épargne leur appartiennent. Ils peuvent donc se servir comme bon leur semble pour financer le coût exorbitant de notre disparition qu'ils décident et gèrent. Au diable la vieillotte défense du bien commun et le vulgaire bon sens qui ne sied qu'aux gueux. Ils se consacrent à ce qu'ils savent faire : jongler avec les milliards rançonnés, avec les peuples remplaçables et remplaçants.


Nathalie Rivage

le 4 octobre 2017


 
 
 

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