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Islamisation, il y a urgence !

  • vr4429
  • 24 oct. 2017
  • 3 min de lecture

Il est d’ailleurs aujourd’hui évident que la prégnance de ces valeurs religieuses particulières, complètement étrangères à nos modes de fonctionnements et à nos valeurs profondes, privilégient un cadre social qui est déjà opposable aux droits élémentaires de nombre de nos concitoyens.


Nous devons bien comprendre qu’en dehors de l’Islam, de l’oumma, il n’y a point de salut et que tous les actes sociaux, culturels se réfèrent au Prophète. Il n’existe aucune pensée qui ne soit pas soumise aux règles religieuses. De la même manière, en France mais aussi dans le monde, les musulmans ne sont pas les porteurs de Lumière et chacun est un soldat religieux. Lorsque des imams veulent organiser des marches contre le terrorisme, nous devons bien comprendre qu’ils ne font que mettre en œuvre la taqîya, qui doit être définie comme la dissimulation des opinions religieuses car, et c’est là un point central en Islam, point de salut lorsque l’on est coupé de la pensée collective engendrée par l’oumma.

Vivre selon les principes de l’Islam appartient à chacun et en dehors de la volonté divine, rien ne saurait se faire entendre. Mieux, ou pire, pour un musulman, il faut en tout lieu et en toute occasion imiter le Prophète Mahomet et c’est ce modèle de vie qui, il nous faut le reconnaître, s’inscrit dans toute forme de refus de la souveraineté populaire et des valeurs de la démocratie puisque Islam est soumission à Dieu !



Les Français doivent mesurer que tous les musulmans veulent instaurer une république islamique dans laquelle seule l’adoption de la Charia importe. Cette loi islamique représente beaucoup plus que notre régime constitutionnel aux yeux des croyants et ceux qui se rapprochent de cette conformité religieuse peuvent et doivent exercer leur violence contre les pouvoirs établis, lorsque ces pouvoirs n’obéissent pas à la loi coranique.


Je l’ai assez souvent exprimé, mais l’Islam est bien plus qu’une religion. C’est avant tout une organisation politique et culturelle de la vie. Il n’y a que les français perdus dans leurs éducations laïcardes qui perdent de vue le caractère global induit par l’Islam. Car, et je reviendrai assez souvent dessus, l’Islam est non seulement religion, mais Etat.


Dans ce contexte, et parce que tous sont ignorants, volontairement ou non, toutes les actions musulmanes, apaisées ou violentes, sont guidées par un désir d’islamiser nos territoires et de faire que chacun se réfère uniquement au Prophète Mahomet, en tous lieux, en tout temps. Et attention, il ne s’agit pas de penser que seule la France est touchée par cette problématique. Toutes les sociétés occidentales sont visées par les islamistes, y compris les communautés chrétiennes et juives, comme toutes celles qui refusent la souveraineté d’Allah. Demeurer dans l’idée que les communautés des gens du Livre puissent vivre en paix en terre d’Islam est une erreur puisqu’aujourd’hui les islamistes estiment que ces pratiques sont celles d’un autre temps et que ces communautés disparaîtront d’elles-mêmes par réductions ou par exclusions radicales.


C’est dans l’amour supposé de Dieu que la foi du musulman s’épanouit et c’est dans les principes de domination cultuelle que chacun doit s’assurer de l’islamisation de la vie quotidienne. Et c’est dans le djihad actif, qui reste une réalité profonde aujourd’hui, que les rapports humains dégénèrent en République. Et même si nos élites veulent ignorer la violence inhérente à la pensée profonde de chacun des islamistes, nous ne devons pas perdre de vue cette problématique majeure pour nos équilibres sociaux et culturels.


S’agissant d’ailleurs des jeunes gens qui partent combattre pour leurs représentations de Dieu, nous devons bien comprendre que lorsqu’ils se soumettent aux règles cultuelles imposées par les imams, ils perdent leur identité pour intégrer une communauté qui fait fi de toutes les appartenances, dès lors que le lien s’opère dans Allah et dans la parole du Prophète. Un jeune-homme, ou une jeune-femme né (e) selon nos valeurs et qui aurait cheminé dans la croyance en Allah doit perdre jusqu’à notre compassion car la sincérité de l’intention communautaire ne peut s’autoriser dès lors que la suspicion naîtra.


C’est ainsi que chaque français qui fait le choix de s’engager en Islam perd jusqu’à son nom et intègre un nom de guerre. Ce choix lui est personnel et il cherchera toujours à honorer le fait d’être musulman plutôt que d’être citoyen de notre République. En conséquence, c’est désormais un autre homme, un autre personnage. Et lorsque ce jeune revient, comme aujourd’hui, il est mûr pour être recruté par un groupe agissant et intégrer l’idée d’un combat au cœur même de notre société.

Attention, cette jeunesse ne porte pas forcément les stigmates de sa propre ségrégation cultuelle. Rares seront ceux à porter la barbe ou la jellabah. C’est peut-être ce qui pose un problème à nos services de police, lesquels estiment, parce que les terroristes se comportent comme n’importe qui, loin des clichés qui fondent la religiosité des individus, ne semblent pas être ce qu’ils sont.


Henri Jabeau-Chamblanc



 
 
 

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