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Rohingyas, mise au point

  • vr4429
  • 1 déc. 2017
  • 3 min de lecture

LES ROHINGYAS DE BIRMANIE : MISE AU POINT INDISPENSABLE

LES MÉDIAS EN PARLENT MAIS N'EXPLIQUENT PAS LA SITUATION RÉELLE, PAR CONTRE ILS NE PARLENT PAS DES CHRÉTIENS PERSÉCUTÉS...


Depuis des mois nos journaux s’épanchent sur ces malheureux Rohingyas qui par dizaines de milliers se voient contraints de quitter «leur pays», la Birmanie, chassés par l’armée Birmane. C’est tout juste si on ne nous demande pas de les accueillir chez nous ces «pauvres musulmans persécutés». Mais au fait, qui sont-ils exactement ces Rohingyas ?Ce sont justement des «migrants» qui ont envahi la Birmanie au cours du XIXe siècle parce qu’ils étaient chassés du Bengale par les Anglais, qui les considéraient comme une minorité religieuse «très dangereuse, prédatrice et parasitaire», en quelques mots des «criminal tribes» (tribus criminelles).


Depuis leur arrivée en Birmanie, il y a deux siècles, les Rohingyas vivent en communauté, refusent de s’intégrer, rejettent les traditions, la culture et le mode de vie birman, tout en revendiquant tous les avantages que leur accordait la citoyenneté birmane. Depuis le début de ce XXIe siècle et le développement mondial de l’islamisme, depuis le début de la guerre déclarée par l’«État islamique» au reste du monde, les Rohingyas du sud de la Birmanie se révoltent : ils saccagent les élevages de porcs et les restaurants qui en servent, ils veulent imposer la charia et leurs mœurs dans cette Birmanie dont la majorité de la population est bouddhiste. Ce dernier mois de ramadan, la violence, provoquée par le terrorisme islamiste, s’est accentuée : notamment une vingtaine de postes de police détruits par des djihadistes rohingyas dans la région de Rakhine, et la décision a été prise par les autorités birmanes d’y mettre un terme et d’expulser cette minorité Rohingyas vers leur pays d’origine, le Bangladesh. Plus de 200.000 clandestins Rohingyas ont déjà été expulsés.


Bien entendu tous les pays musulmans du monde crient au génocide (et qui mieux qu’eux peut en parler puisqu’ils le pratiquent depuis des siècles et des siècles) contre cette campagne antiterroriste, et au premier rang les organisations islamistes internationales, suivis par certains autres pays qui se veulent démocratiques, laïques, républicains, et soi-disant respectueux des droits de l’homme, comme par exemple la France et sa presse pro-musulmane, pro-chance pour la France ! En revanche on se garde bien de vous informer sur la persécution permanente des chrétiens de Timor, en Indonésie, des coptes en Égypte, des Syriaques en Irak et des juifs, dans tous ces pays essentiellement musulmans. On passe sous silence les attentats répétés commis par une minorité musulmane islamiste, se revendiquant de l’État islamique, dans ce pays, les Philippines, à majorité chrétienne ! Nos médias critiquent ouvertement le silence d’Aung-San-Suu-Kyi, l’actuelle chef du gouvernement birman, qu’il y a peu de temps encore était encensée pour le Prix Nobel de la Paix qui lui était décerné. Les pays qui, eux, sont parfaitement au courant de cette situation dramatique pour la Birmanie, comme l’Inde et la Chine, lui apportent un soutien inconditionnel.


Gardons-nous de jeter la première pierre contre ces pays qui se défendent courageusement contre le terrorisme religieux islamique puisque nous sommes incapables d’y mettre un terme ! Il est primordial que la population française soit informée sur ces évènements par d’autres médias que ceux qui sont «subventionnés» pour la désinformer.


"LOVE ARMY"


En deux jours, l’initiative emmenée par Omar Sy et la star du net Jérôme Jarre a récolté près de 1,5 million de dollars. Cette mobilisation, impressionnante, soulève toutefois des interrogations.

La "Love Army" est en passe de réussir son pari. En deux jours, l’initiative lancée par plusieurs stars, dont Omar Sy et "l’influenceur" Jérôme Jarre a récolté le montant impressionnant de près de 1,5 millions de dollars de dons pour venir en aide aux Rohingyas.


Le message de la "Love Army" a cependant été brouillé par un appel adressé directement au controversé président turc Recep Tayyip Erdogan. "On demande l’aide du président de la Turquie", a écrit Jérôme Jarre mardi matin, avec le hashtag #ErdoganHelpRohingya. Quelques heures plus tard, le chef d’État lui a répondu sur Twitter. "Cher Jérôme Jarre, nous n’avons jamais décliné une demande d’aide. Nous allons soutenir les efforts" de la Love Army. Le président turc est en effet un fervent défenseur de cette minorité musulmane...


 
 
 

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