L'université Lyon II occupée

Depuis plusieurs semaines, l’Amphi C de la faculté de Lyon II est occupé par des étudiants et des migrants. Tous veulent contester et construire un rapport de force face à la politique répressive des pouvoirs publics sur la question des logements à destination des populations étrangères.

Face à cette situation, on apprend que la présidence de Lyon-II avait laissé aux occupants illégaux de l’amphi jusqu’à mercredi « pour évacuer les lieux, avant de recourir à la force publique » … Il faut dire que cette faculté est problématique à Lyon car lorsque les étudiants ne soutiennent pas les migrants, ils accueillent nombre d’intervenants islamistes sous couvert académique pour des manifestations opposables à l’idée que nous nous faisons de la France et de ses valeurs ! Effectivement, même si personne ne parle jamais de Lyon II, il convient bien de considérer cette faculté des sciences sociales comme un repère de gauchistes. Cette jeunesse irresponsable avait organisé un colloque le 14 octobre dernier et qui devait rassembler plusieurs associations islamistes avec la bienveillance du président de l'Observatoire de la Laïcité, Jean-Louis Bianco !

Aujourd’hui, ces étudiants s’affichent de plus en plus à Lyon et nombre de banderoles s’affichent un peu partout dans la ville. De nombreuses écoles sont occupées. Le Collège Barbusse de Vaulx-en-Velin est d’ailleurs investi par des activistes gauchistes et des manifestations sont prévues pour ces prochains jours.

On remarquera au passage que si la présidente de Lyon 2, Nathalie Dompnier veut affirmer les règles de la République, elle annonce néanmoins publiquement son soutien pour ces actions. Je dirais même qu’elle est un des rouages de ces actions et que les migrants sont ses camarades de combat.

De nombreuses actions sont attendues à Lyon et des rassemblements sont envisagés. Des suites sont envisagées si les évacuations sont réelles.

Il importe donc d’occuper durablement le terrain à Lyon et de combattre activement tous les activistes gauchistes et étudiants sans consistance qui participent à la déstabilisation de l'unité de l’État.

L’État est justement ce qui précède la nation et c’est parce qu’aujourd’hui le pays abrite en son sein plusieurs ethnies que nous devons interdire l'expression plurielle d'identités agressives différentes. La construction nationale française ne saurait, dans tous les cas, être instrumentalisée par les groupes activistes libertaires, lesquels aujourd’hui portent les germes de la division et qui exposent la France à la guerre civile.

Henry Jabeau-Chamblanc