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Racisme anti-blancs

  • vr4429
  • 11 déc. 2017
  • 6 min de lecture

Le racisme anti-blanc : symptôme de la partition orchestrée de la France.


Quand Dieu veut perdre un homme, Il lui ôte la raison. Que le bradage de la France ait commencé il y a déjà près de quatre décennies, cela ne fait aucun doute. Ce qui en revanche est surprenant, c’est l’accélération vertigineuse, à première vue incompréhensible de ce processus à partir du mandat de Sarkozy et notamment depuis l’arrivée au pouvoir du jeune espoir de la fondation Saint-Simon. On aurait dit que les démiurges du soi-disant social-libéralisme sont pressés d’en finir avec l’Europe des nations, particulièrement avec la France qui demeurait, depuis Clovis, le phare chrétien de l’Europe franque. Pourquoi maintenant ? Peut-être parce que le troupeau est mûr. Pas tout le troupeau, bien sûr, car certains spécimens résistants à la vague de folie annihilatrice n’en font pas partie. Plus je lis les commentaires sur Facebook, sur les murs, de plus en plus nombreux, des Français fraîchement débarqués sur Vkontakte, sous les articles des journaux en ligne, plus je m’aperçois que les consciences se réveillent. Oser exprimer ne serait-ce qu’un soupçon d’exaspération, par les temps dictatoriaux qui courent, n’est-ce pas déjà une humble avancée ? Cela étant, et bien que l’on nous ait appris que la qualité valait souvent autant, voire, plus, que la quantité, je crois qu’au point où nous en sommes, il faudrait une mobilisation plus massive. J’irais même jusqu’à dire jusqu’au-boutiste.


Danielle Obono, une députée censée représenter la République française et, par là même, être au-dessus de ses complexes ethniques si tant est qu’elle en ait, a défendu à cor et à cri le déroulement de séminaires interdits aux Blancs. Donc, des séminaires à huit-clos qu’on veut faire passer pour des séances de psychothérapie entre et pour personnes noires vouées, du fait de leur couleur, à l’exclusion. Lesdits séminaires sont organisés et, je suppose, chapeautés par le syndicat Sud-Education 93 qui veut nous faire avaler la pilule de l’ « atelier en non-mixité raciale » où les Noirs parlent aux Noirs sans être importunés par les méchants colonisateurs français ... de la France. Cas isolé ? Non. Le 25 novembre, soit, aux alentours de la période où les ateliers de Sud-Edu étaient discutés, les Nantais se retrouvèrent confrontés au sacré courroux de jeunes Africains (250 personnes selon les estimations officielles) qui, dans le cadre d’une manif sauvage ayant entraînée la paralysie des transports en plein centre-ville, ont hurlé leur haine rabique de la France, de l’Europe, du Blanc de manière générale en termes simples : « Sales putes de Blancs ! ». Ainsi s’y seraient-ils pris pour dénoncer l’esclavage des Noirs de Libye Personnellement, j’y vois un prétexte grossier. Primo, parce qu’une manif contre les agissements de l’OTAN serait plus appropriée. Que je sache, il y a beaucoup de Noirs dans l’Alliance. Deuxièmement, parce que, sur le terrain, des Noirs vendent des Noirs à des Arabes du cru.


Tertio, si ces individus tiennent vraiment, comme ils l’ont annoncé eux-mêmes, à la libération de l’Afrique, pourquoi sont-ils encore en France ? Le rétablissement du kadhafisme demande d’importants investissements humains. Ces symptômes qui sont d’ailleurs plutôt le prodrome d’émeutes ethniques accrues sont à interpréter à la lumière d’un autre précédent sans précédent : l’ancienne garde des Sceaux, Christiane Taubira, qui chérissait une racaille assez peu identifiable à la France et à ses valeurs, et qui prenait un malin plaisir à insuffler aux jeunes générations blanches un sentiment de culpabilité à l’égard du Noir, cette Altérité sans cesse lésée dans sa dignité. Autant la personne de Mme Taubira au pouvoir devint possible au moment du déraillage néo-socialiste-libéral de la France, autant le déraillage se poursuit cette fois avec les séminaires en non-mixité où l’un des griefs formulés concerne la surreprésentation de l’homme blanc au Parlement et dans d’autres structures d’État. Le problème ne réside pas tant dans l’existence de haineux qui voient dans le pays d’accueil une vache à lait que dans la volonté des élites (blanches) de faire accéder ces gens au pouvoir et de les y maintenir. Pourquoi Mme Taubira avait-elle été tolérée ? Que fait Mme Obono à son poste ? Pourquoi la police a reçu l’ordre de ne pas écraser dans l’œuf l’émeute de Nantes ?


On constatera en outre – ce qui tout aussi symptomatique – que Mme Obono compare la tenue de cet étrange séminaire « noir » aux réunions du même type entre représentants des LGBTI et féministes. Sur la forme, elle a très certainement raison. Mais j’ai bien peur qu’elle n’ait également raison sur le fond. Pourquoi ne s’interroge-t-on jamais sur la nature et la visée de cette folie d’abord rampante, tacite, voilée, aujourd’hui flagrante et militante, autour des minorités ? Il y a toujours eu des homosexuels, certes longtemps astreints à l’intimité après dépénalisation du phénomène, mais doit-on imaginer que la majorité des homos désirerait se marier et vivre leurs pulsions en pleine rue ? Le féminisme d’aujourd’hui, celui à la sauce « femen », est d’un ridicule abject. Qui plus est, cela fait des lustres que ce courant est inutile, il a été dépassé par l’évolution naturelle des mœurs dont on pourrait cependant supposer qu’elle n’est pas irréversible vu la déferlante islamiste actuelle. Alors pourquoi les minorités obtiennent les pleins pouvoirs sur la majorité ?


Nous parlons des séminaires noirs, des minorités sexuelles, et des féministes qui devraient plutôt écouter les sages propos de Yourcenar avant de se dépoitrailler. Nous parlons de leurs promoteurs, tous blancs, il est vrai, cravatés, et généralement sortis de l’ENA. Mais comment oublier que cette déraison à multiples facettes, promue au rang d’idéologie, concourent globalement à la destruction de l’unité chrétienne de la France et des nations d’Europe. Le pouvoir des minorités, qu’importe qu’elles soient obscures ou éclairées, c’est aussi l’interdiction des crèches et des croix dans l’espace public, mais une bienveillance tacite à l’égard des prières de rue. Est-ce bien des musulmans, pour beaucoup intégrés, voire assimilés, que provient cette interdiction ? N’a-t-on pas vu de jeunes Syriens, en Syrie, ré-inaugurer la Croix sur le dôme d’une église à moitié détruite par l’EI ? Je ne me fais aucune illusion sur les immenses difficultés d’une coexistence heureuse entre l’islam, aujourd’hui multiple, et le christianisme, mais la réalité n’en change pas pour autant : ce sont les organisations laïques, à dominante ethnique blanche, qui détruisent cette unité si fragile que nous avons mis tant de siècles à conquérir. Ces mêmes individus sont prêts à tolérer des épisodes d’entrisme islamiste à l’université d’Aix-en-Provence, des tentatives d’entrisme à l’université de Lyon, un entrisme global dans le monde universitaire français (cf. Houellebecq, Soumission) en se contentant de faire la mou ... feignant une indignation que l’on sait beaucoup plus sincère lorsqu’il s’agit de faire retirer la croix surplombant le monument de Ploërmel. En France, dans le 93, on arrive à avoir 145 lieux de culte islamique contre 117 lieux de culte catholique. Qui a cautionné cette prolifération ? Les populations allogènes ? Les petits-enfants de migrants de la première vague ? Pourquoi ne les a-t-on alors pas fait aimer et respecter leur pays d’accueil il y a trente ans, lorsqu’il était encore temps ? Faut-il croire que les élites dirigeantes, françaises particulièrement, sont toutes secrètement adeptes d’un islam rigoriste ? C’est ridicule.


Personnellement, j’y vois une tentative de morcellement de la France, sa partition orchestrée, ce qui, à divers degrés, reflète un projet bien plus global qui est la désagrégation des nations d’Europe à l’intérieur de leurs frontières, de leurs villes et villages, jusqu’aux hameaux les plus enfouis dans la nature. Imaginez une pièce, un peu sur le modèle du huis-clos sartrien, où vous mettriez un travesti féru d’écriture inclusive, une Noire lesbienne, un vieil identitaire, catholique lefevriste, un musulman hésitant entre salafisation et assimilation, un bobo dépressif obsédé par l’impact des crèches et la mauvaise influence des mémés et pépés sur les petits enfants, une féministe éprise de Fourest, et un Noir persuadé que les Blancs naissent et meurent colonisateurs. Enfermez-les pour quelques jours. Le résultat est prometteur surtout si l’on sait qu’à terme, seuls les prédateurs survivent. Pour l’instant, nous n’en sommes qu’au stade de la coexistence contre-nature, et de la partition. Si demain on arrive à organiser des séminaires fermés entre bleus, verts et orange, le projet sera encore plus réussi.


La tactique de la partition se retrouve, à plus grande échelle, à l’image de la confrontation orchestrée entre le monde slave orthodoxe et le monde occidental catholique/protestant. Le conflit ukrainien, en plus d’être une guerre par procuration entretenue à petit feu par le deep state US, est aussi une ligne de fracture voulue entre christianisme romain et byzantin. De ce point de vue, la partition socio-ethno-confessionnelle des Etats-nations d’Europe n’est que le reflet d’une immense partition projetée de l’Europe blanche d’essence chrétienne avec, en ligne de mire, une guerre globale ardemment souhaitée par les oligarchies d’outre-Atlantique et leurs féaux du Vieux Continent.


Françoise Compoint


 
 
 

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