L'Islam et la République
- vr4429
- 20 déc. 2017
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Il faudrait être aveugle pour ne pas voir que les migrants qui affluent chez nous sont en quasi-totalité de religion musulmane. On voit fleurir les mosquées un peu partout, le hallal envahit les supermarchés, foulards islamiques, niquabs et barbus en babouches se font plus pressants. Je sais qu’il est des personnes incultes qui prétendent que la civilisation européenne n’a pas de racines chrétiennes et date de 1789, mais il y a des limites à la bêtise : l’Islam n’a jamais apporté sa contribution à notre civilisation, il la combat depuis le 7ème siècle !
Il est temps que nos politiques s’interrogent sérieusement sur la compatibilité de l’Islam et de notre conception de la république.
L’Islam n’est pas une religion comme le christianisme ; c’est une théocratie totalitaire où le spirituel et le matériel sont étroitement imbriqués, le second étant régit par le premier. Pour les musulmans, le Coran et son code juridique, la charia, sont décrétés d’émanation divine (écrits de toute éternité par Allah et conservé au ciel !) depuis le début du 9ème siècle. Il est important de comprendre qu’un vrai musulman ne peut obéir à d’autres lois que celles écrites par son dieu, Allah. Toutefois, quand la conversion ne peut être obtenue par le sabre, il est précisé dans le coran qu’il faut avancer caché tant que l’on n’est pas en position de s’imposer par la force : la pratique de la « takia », c'est-à-dire le mensonge » dans l’intérêt de l’islam est clairement conseillée par le coran et son prophète, dans les pays ou les musulmans ne sont pas en position de force.
Les principes de la république sont la liberté, liberté de se déplacer, de penser, de s’exprimer ; l’égalité, tous les citoyens ont les mêmes les droits et les mêmes devoirs ; la fraternité, notion chrétienne qui est le souci de l’autre, la protection et le soin apportés aux plus faibles. Aucun de ces principes n’est compatible avec l’Islam : Islam se traduit par « soumission », soumission à Allah, à son prophète et à ceux qui lui ont succédé.
Il n’y a pas de liberté dans l’islam puisque tout est régit par le coran, la Charia ou les hadits, aussi bien la manière de prier, que de se vêtir et jusqu’à la manière de faire ses besoins naturels. On ne peut quitter l’islam, l’apostasie est punie de mort, tout croyant se devant de tuer le renégat.
Il n’y a pas d’égalité dans l’Islam : l’esclave à moins de droits que son maître, mais plus que le « dhîmmi » mécréant. La femme est inférieure à l’homme, non nubile, elle est soumise à son père ou à ses frères, mariée elle est soumise à son époux, veuve elle est soumise au chef de famille qui peut être un fils ou un beau frère. Elle n’hérite que d’une demi-part, et son témoignage n’est accepté que s’il est confirmé par plusieurs témoins masculins.
La fraternité dans l’islam ne s’applique qu’à « l’Oumma » la communauté musulmane ; l’incroyant est impur il faut éviter tout contact avec lui… !
Depuis treize siècles l’islam s’est régulièrement attaqué à notre civilisation, lui reprochant aussi bien sa manière de penser que sa manière de vivre. Il a déporté pour les vendre des millions d’hommes et de femmes d’Europe ; ses hordes ont déferlées sur toutes les côtes méditerranéennes semant la ruine et le pillage, massacrant ceux qui ne pouvaient servir au commerce humain. De même qu’un certain Hitler avait expliqué dans un livre « Mein Kampf » toutes les atrocités qu’il se promettait de commettre s’il accédait au pouvoir, un « management de la sauvagerie » circule depuis plus d’une décennie sur internet, écrit par un certain Abou Najr, il explique lui aussi par le menu le sort qui est réservé aux européens par les « soldats de Dieu » s’ils parviennent au pouvoir et la manière d’y parvenir.
Nos « intellectuels » sont-ils à ce point bornés et aveugles pour répéter la même erreur à cent ans de distance ? L’histoire nous a montré que les mêmes causes amenaient les mêmes effets : il est plus que temps de dire non au suicide car L’Islam, non réformable, est un danger pour l’avenir de nos enfants, regardons de l’autre coté de la Manche où en sont nous voisins Anglais.
Michel Roger
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