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De la balkanisation de la France !

  • vr4429
  • 12 janv. 2018
  • 6 min de lecture

On ne peut pas se résigner à ne rien comprendre au conflit qui est en train de ravager notre société et qui tend à redéfinir notre relation à la Tradition qui est la nôtre. Aussi, lorsque des prélats, au nom de l’église catholique tout entière, exigent du Ministre de l’Intérieur que les forces de l’ordre, et par voie de conséquence la justice, s’assurent de la «sanctuarisation des centres d’hébergement» afin de ne pas troubler les droits des migrants, nous entrons dans des logiques mortelles et les déterminations des prêtres ne sauraient entrer en collusion d’avec celles de l’Etat-nation.


Les enjeux stratégiques qui sont les nôtres, aujourd’hui, sont à ce point important qu’en République nous ne saurions autoriser des religieux à analyser et à marquer de leur sceau des politiques qui incombent à l’Etat-nation et nullement à des groupes particuliers, fussent-ils de notre religion. Jamais, parce que des conflits majeurs s’annoncent de plus en plus, les forces de l’ordre ne doivent se soumettre à la compréhension partisane de prêtres et parce que l’urgence exige que tous les problèmes terroristes soient strictement circonscrits, il nous importe de juger les revendications partisanes comme de la foutaise.


On aura bien compris cependant que les prêtres catholiques veulent apporter leur soutien à l’Islam. On serait tenté, pour peu que nous eussions mauvais esprit, de nous rappeler le sort des chrétiens d’Orient … Combien se voulurent apaisés avec leurs voisins musulmans et combien peuvent encore témoigner des largesses et de la sagesse des imans et autres croyants mahométans ? Mais il est vrai que l’on trouvera toujours un Jésuite ou un prêtre ouvrier pour nous expliquer que les voies du Seigneur sont impénétrables et que nous sommes indignes de nous prononcer sur ses Mystères … Néanmoins, il nous appartient aujourd’hui de rendre à César ce qui lui appartient et de dénoncer les multiples suppliques des religieux comme autant d’actes de haute trahison envers la sécurité nationale.


Aussi, aujourd’hui, lorsque nombre de prêtres agissent comme une cinquième colonne et préparent la constitution d’enclaves islamistes au cœur même de la Nation, parce que leurs postures féminisées engendrent un esprit de désertion, nous devons dénoncer ces postures et rétablir dans ses positions une Eglise qui participe à la ruine intérieure. Certes, mon discours va déplaire, mais même si certains sont encore en désaccord avec ma manière d’appréhender les choses, s’agissant du traitement à accorder au contrôle des populations immigrées, surtout lorsqu’on suppute l’idée qu’elles puissent comporter en leur sein nombre de djihadistes fuyant les zones de conflits armés, il est important de savoir qui nous intégrons.


Les sans-papier, selon moi, représentent un danger pour la sécurité intérieure dans la mesure où les migrants sont infiltrés par des soldats d’Allah et que si nous n’évaluons pas la mobilisation guerrière qui se constitue au sein de ces populations, nous risquons de le regretter rapidement.

Il devient donc essentiel que les forces de police et le renseignement, fusse-t-il militaire, puisse identifier tous les sans-papiers présents dans les structures d’accueil, mais également au sein des structures cultuelles musulmanes. Aucun lieu ne saurait dans tous les cas être «sanctuarisé», pas même les hôpitaux.


Effectivement, mon discours est radical et ne laisse que peu de place aux compromis mais il devient important de nous appliquer, autant que possible, à multiplier les contrôles contre nos ennemis pour les acculer et à les tenir dans un état constant de crainte, jusqu’à les pousser à se découvrir. Harceler les djihadistes qui se cachent en unissant nos forces et en fondant une organisation patriotique capable, à elle seule, d’assurer la résistance mais aussi à fonder une force de combat qui ne saurait se plier à la sauvagerie de ces enragés.


Au-delà nous devons démontrer à nos compatriotes que nous refusons l’humiliation de ne rien faire et que nous sommes prêts à répondre à toutes les attaques de la part de ces terroristes. Aucun ne saurait effectivement affaiblir notre groupe comme calculer des stratégies afin de prendre le contrôle de zones tribales autoproclamées.


A ce propos, il me semble important de préciser que les voies à suivre pour empêcher l’instauration de territoires islamiques, au cœur même de la Nation, ne sauraient être celles qui donnent l’impression que nous abandonnons les choses. Considérant effectivement que ces nouveaux territoires ne sont pas aussi éloignés que nous le pensons et que le plus souvent il s’agit d’une ville, comme Roubaix, d’un village ou d’un quartier.


Les grandes cités, autour de Lyon, restent des zones de non-droit et agir pour assurer la sauvegarde de notre civilisation passe par la résolution de toutes les menées assassines. Par exemple, nous ne devons plus assister sans réagir à l’islamisation d’un quartier en acceptant la propagation des commerces extra européens comme la pratique des coutumes islamistes.


Sur Lyon, justement, place des Célestins, en plein centre-ville, des jeunes, tous les soirs, s’installent et chantent selon les airs orientaux. Il semblerait que cela ne dérange personne puisqu’ils sont parvenus à mettre en place des rendez-vous devenus coutumiers. A n’en pas douter, même les chrétiens du quartier estimeront comprendre cette jeunesse et préfèrera qu’elle passe son temps à chanter plutôt qu’a voler. C’est cependant en laissant ainsi la place libre que nous abandonnons nos positions et que la sécurité volera en éclats. Car s’unissant et en percevant l’inclination docile d’un environnement donné, les djihadistes se positionnent comme des pions sur un échiquier.


Ainsi ces groupes, en constante liaison avec les zones de non-droit, peuvent s’implanter pour gérer progressivement leur sauvagerie... Laissés libres de leurs mouvements, ils s’entrainent silencieusement à créer les conditions de leur suprématie territoriale. Face à cette stratégie de conquête, nombre de citoyens, n’ont d’autres choix que de s’unir à eux ou reculer un peu plus.


Aussi, dans nos rangs en tous cas, nous ne pouvons nous en tenir à une pensée gauchisante, libertaire car ces postures seraient à l’origine de notre perte. Plus globalement, et en ce sens je veux répondre à un camarade de combat, aucun musulman ne saurait être des nôtres car tout musulman dissimule toujours ses fidélités. Bien entendu, il est possible de trouver un homme ou une femme qui ne soit pas comme les autres. Mais dès lors, cet homme, ou cette femme doit quitter complètement sa communauté d’origine et rejoindre notre groupe car qui n’est pas avec nous est contre nous.


Oui, je sais, j’entends déjà les critiques et on va estimer que je transpire trop la radicalité identitaire mais, aujourd’hui, il s’agit aussi de comprendre que nombre de musulmans, à n’en pas douter puisqu’ils sont entrés en guerre contre l’Occident, ou l’idée qu’ils s’en font, sont certainement en sommeil provisoire, dans l’attente du conflit. Ainsi, personne n’est à l’abri et seuls les ignorants veulent encore croire que l’Islam est une religion de paix.


Je veux mettre en garde celles et ceux qui, comme certains parfois autour de nous, considèrent qu’un musulman qui boit de l’alcool, sort tard le soir et fréquente nombre de jeunes-femmes étrangères à sa communauté cultuelle est plein de sagesse et d’amour pour son prochain … A dire vrai, et cela s’est trouvé attesté dans de nombreuses situation, les terroristes ne portent pas les stigmates de leur ségrégation culturelle mais adoptent des comportements « normaux ».

Leur détermination à mener le djihad, et le bénéfice dont ils espèrent en tirer, leur impose l’idée de se fondre dans leur environnement.


Autre point qui mérite d’être éclairé. Je ne pense pas que les musulmans, en France, et plus largement en Europe, ouvriront un front unique. L’ennemi connait la faiblesse de ses forces avec la nature et la localisation continentale de sa cible. C’est pourquoi, et nous l’avons déjà vécu, il faut nous attendre à vivre une balkanisation de la situation. Et parce que justement ils agissent en petites groupes autonomes, parce qu’ils apprennent l’importance de passer inaperçus et de bien déterminer ce qui nous blesse, ainsi que du moment propice à l’action, nous devons occuper le terrain et permettre l’avènement d’une société qui ne soit plus en décalage avec la réalité.


Concrètement, c’est à une guerre de conquête, fondée sur la purification religieuse, que nous sommes confrontés et face à cette crise profonde nous ne pouvons nous résoudre, comme le font les politiciens, à sacrifier des pans entiers de notre territoire comme de la population française. Chaque peuple, à un moment donné de son histoire, est plus ou moins solidaire et responsable des actes qui se commentent en son nom. Et parce que nous refusons de nous résigner à ne rien comprendre à ce qui se passe aujourd’hui en France, nous ne pouvons plus considérer normale notre neutralité. S’engager devient donc un devoir.


Henry Jabeau-Chamblanc



 
 
 

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