Marianne et les oulémas
- vr4429
- 5 févr. 2018
- 3 min de lecture

Ne trouvez-vous pas curieux qu’aucun « sages de la république » ne se soit posé la question de la compatibilité de l’Islam avec notre république laïque avant d’accepter que des musulmans à double nationalité, ce qui est un comble, soit invités à présider aux destinées de notre Patrie.
L’Islam n’est pas à proprement parler une religion, comme le christianisme qui ne s’occupe que de spiritualité, mais un concept totalitaire en forme de théocratie qui entend contrôler dans le détail tous les aspects de la vie de ses adeptes. Cela va des relations entres croyants et non croyants, jusqu'à la manière de satisfaire ses besoins naturels.
Il faut savoir que pour les musulmans, leur livre sacré « le Coran » est incréé, qu’il existe au Paradis d’Allah, écrit en Arabe la langue d’Allah et que rien ne peut lui être ajouté ni retranché : Il est l’expression de la volonté d’Allah, qui a été dicté par un ange à Mohammed. La loi divine qui émane de ce livre, ainsi que des « Hadiths » qui sont la compilation de tous les enseignements, décisions, jugements fait par Mohamed au cours de sa vie, est la « charria » cette loi s’impose à tous les croyants.
Dans les pays qui ont adopté l’Islam, elle est la « loi commune », et même les non-croyants y sont assujettis. Cette loi qui vient du fond des âges obscurs est terrible pour ceux qui y contreviennent : lapidation à mort, égorgement, mutilations d’un membre, des lèvres et du nez en font parti. Toute critique de l’islam est assimilée à un blasphème, puni de mort. Dans cette religion angélique, la femme est juridiquement considérée comme éternellement mineure, sa tutelle étant assurée par son père et ses frères, par son mari ou ses fils en cas de veuvage. Elle n’a pas les mêmes droits que les hommes : elle n’a droit qu’à une demi-part d’héritage, son témoignage doit être corroboré par plusieurs témoins masculins… ! En terre d’Islam appliquant la charria l’incroyant n’a pas droit de cité : il n’est toléré (parfois) que si il abandonne tous droits et rachète sa vie par un impôt, devenant un « Dhimmi » soumis à l’arbitraire des maîtres musulmans.
Vis-à-vis de l’Occident, l’Islam se présente comme une « religion de paix », rien n’est plus faux, en parlant des « associateurs et des impies » le coran stipule : « Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux [ les mécréants] jusqu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais, s’ils tournent le dos, saisissez les alors et tuez les où que vous les trouviez, et ne prenez parmi eux ni alliés ni secoureurs. » (sourate 4, An-Nisä ;v 89. Trad. Vérifié par l’Arabie Saoudite).
Les âmes bien pensantes, non seulement ignorent tout de l’Islam, sinon ils connaitraient l’une des directives de Mohammed : la taqïya ou takia, instituée par la sourate 3 verset 28, directive selon laquelle lorsqu’il n’est pas en terre d’islam, le croyant peut et doit faire usage de tromperie pour défendre et répandre l’Islam. Ibn Kathir (14ème s) expliquait ainsi la takia : « sachez sourire à vos persécuteurs [les mécréants], alors que votre cœur les maudit. »
Même si de telles pratiques ne sont pas étrangères à la camarilla politique, sont elles acceptables ? Le droit Islamique est-il compatible avec nos traditions humanistes ? Manifestement non. Il est temps de le rappeler fermement aux aveugles mal-entendants qui prétendent nous gouverner, car c’est nous qui paierons au prix du sang ou de notre liberté leurs insuffisances. Mais que peut-on espérer de gens qui nient l’existence même d’une « culture française » reconnue par le monde entier.
Michel ROGER
Comentarios