La grande tribulation
- vr4429
- 8 févr. 2018
- 2 min de lecture

Notre civilisation gréco-latine, teintée de christianisme, par sa philosophie et les idées qu’elle produit est largement ouverte sur l’avenir, sur la connaissance du macro et du microcosme, elle a créé les sciences et les techniques génératrice de progrès humains.
Dans cette ruche occidentale, les ouvrières ont pris conscience de la richesse de leur individualité, et si elles continuent à participer à l’œuvre commune, elles demandent que leur travail soit reconnu et que produisant plus, une part plus importante des ressources leur soit attribuée. Cela bien sur va à l’encontre de l’idéal d’une poignée de mondialistes apatrides, motivés par la seule accumulation de leur richesse et de leur puissance, pour qui l’idéal est que les producteurs de richesses soient des pions interchangeables et dociles qu’ils peuvent manipuler au gré de leur volonté et de leurs intérêts. Les idéologues mondialistes ont rapidement trouvé la faille qui tenait dans la forme des gouvernements que les hommes s’étaient donnés : La Démocratie, qui est l’exercice direct, ou par délégation à des représentants élus, de la souveraineté. Ces populations sont rebelles à nos idées : soit ! Changeons ces populations !
L’idée première de ses aspirants à la maitrise du monde fût d’inciter ces populations rebelles à s’autodétruire en brouillant les cartes de la morale millénaire, en légitimant le droit à tuer ; en France, par exemple, le « planning familial » tue en toute légalité 200.000 vies en devenir par an, le renouvellement de la population autochtone n’est plus assuré. Corollairement il fallait renouveler l’outil productif : la diminution provoquée artificiellement des populations indigènes est la porte ouverte à une immigration massive d’ethnies allogènes qui, ce que les théoriciens mondialistes n’avaient pas imaginé, ne viennent pas pour construire, mais pour profiter de richesses qu’ils sont incapables de créer.
L’erreur mortelle de cette « pseudo élite » est l’appel à des populations imprégnées de la doctrine islamique. Depuis sa création au VII ème siècle, l’Islam n’est pas une religion, mais un système politique qui prend en charge tous les aspects de la vie de ses adeptes : islam se traduit par soumission. Si par malheur, ces peuples venaient à submerger notre continent et que des populations islamisées arrivent au pouvoir ces « bien pensants » se heurteraient bientôt à l’intransigeance de la charria, et ils deviendraient immédiatement, par leur comportement et leur idéologie, le « grand Satan » à supprimer : ils connaitraient à leur tour la « loi du sabre » et ce ne serait que justice ; la justice islamique qu’ils auraient amenée au pouvoir.
La grande question est : allons nous laisser une poignée de psychopathes préoccupés par la seule augmentation de leur pouvoir et leur avidité de richesse détruire notre civilisation et les valeurs humanistes qu’elle à mis en place ? Les européens vont –t-il accepter leur disparition dans le chaos de nouvelles invasions barbares ?
Michel ROGER
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