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Encore un attentat

  • vr4429
  • 26 mars 2018
  • 3 min de lecture

Un nouvel attentat islamiste vient de frapper la France.


Trois morts, seize blessés, un lieutenant-colonel de Gendarmerie héroïque décédé.

L'auteur, un certain "Redouane Lakdim", aurait avancé des motivations vaseuses qui ne résistent pas à une analyse géopolitique des accointances entre ce type d'excité et certains « services » cherchant à déstabiliser la Syrie.


Sa personnalité souligne une fois de plus la « porosité » entre le monde de la « petite délinquance » originaire du Maghreb dont il est issu, et le monde du terrorisme sanglant.

Une fois de plus, nos dirigeants ne vont pas manquer de poser des fleurs là où les terroristes posent des bombes...


Les Etats-Unis, il y a longtemps, ont connu une guerre comparable, lors de laquelle les familles étaient confrontées à des « raids » sanglants à l'intérieur même des frontières.

Il en est résulté une tradition bien ancré, de liberté de détention et de port des armes par les citoyens américains, sanctionnée par le second amendement de leur constitution.


Il en est de même en Israël, où le port d'arme est généralisé pour limiter la gravité d'une attaque terroriste brusquée et permettre aux citoyens armés de « stopper » immédiatement le criminel.

C'est ainsi qu'on sauve des vies et des familles. Pas avec des fleurs ou des discours larmoyants.

Un ou deux morts en Israël par l'effet de surprise, au lieu de deux cent cinquante en France, dans des circonstances similaires...


Ainsi, en France, la législation sur les armes vient de changer une nouvelle fois à l'initiative de l'Union européenne, qui lutte avec une remarquable constance contre les Peuples à coup de « nobles idées », créant de fait une insécurité juridique chronique pour le citoyen et offrant les populations désarmées en proie à la plus inacceptable des morts.


Le Code pénal considère comme « complice » (puni des mêmes peines que l'auteur principal) celui qui favorise la commission d'un crime ou d'un délit par : provocation, instructions données, fourniture de moyens, aide et assistance. Mais jusqu'où va l'assistance ?


Poser sciemment les familles en proie, en cherchant à désarmer les citoyens avec constance, dans le temps même où les femmes et les enfants sont l'objet d'attaques meurtrières réitérées, est au minimum inconséquent, mais pourrait bien un certain jour être considéré comme un élément constitutif du crime de complicité d'assassinat en lien avec une entreprise terroriste...


Non, nous ne sommes plus tristes, plus seulement tristes, de tous ces massacres : nous sommes de plus en plus indignés ! Car des technocrates vendus et des politiciens décérébrés creusent inlassablement le lit des massacres et de l'agonie des Nations et des Peuples.

Mais au-delà de la langue de bois qui a cours parmi les élites et les journalistes aux ordres, le Peuple Français souverain n'est plus dupe.


Les droits du Peuple, et notamment le droit à se défendre légitimement et les droits constitutionnels infrangibles de sûreté et de résistance à l'oppression, sont bafoués !


Que pensaient les Pères fondateurs de la République d'un tel cas de figure ? La réponse a été actée dans la Déclaration de 1793 :

« Quand le gouvernement viole les droits du Peuple, l'insurrection est pour le Peuple et pour chaque portion du Peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

Bien sûr, il ne s'agit pas de ça, aujourd'hui. Ce serait illégal dans le contexte du 21ème siècle, où le citoyen est devenu un "assujetti" dans les notes administratives...


Mais nul ne peut s'opposer à une insurrection des esprits : ainsi, on peut tout de même s'interroger sur la légitimité d'une Union européenne qui s'acharne à désarmer les citoyens alors même que les foyers français sont indéniablement et ignominieusement frappés au cœur.


Il est plus que jamais vital d'agir en « bon père de famille » avisé, responsable et vigilant, soucieux de l'impérieux devoir de protéger les siens - dans le strict respect de la légalité républicaine bien entendu - mais cependant un respect attentif, et critique car l'Etat a désormais clairement démontré son incapacité à prévenir des massacres sanglants.


On n'en est plus aux belles paroles vides de sens.

On en est désormais aux actes responsables.

VALMY


 
 
 

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