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Les limites de l'incompétence...

  • vr4429
  • 2 mai 2018
  • 4 min de lecture

Les médias se sont fait l’écho d’une nouvelle de première importance : la remise du « rapport Borloo » sur les banlieues ! Je trouve admirable que ce notable, propriétaire d’un gros cabinet d’avocats, qui a enchaîné d’importants mandats politiques depuis vingt cinq ans, ait pu trouver le temps d’étudier les « banlieues délaissées » d’en analyser les situations matérielles et morales et d’être en mesure de porter remède à des situations catastrophiques de marginalisation (causées par le communautarisme, la délinquance) et de paupérisation, bref ! De l’établissement de zones de « non droits », où les lois républicaines ne sont plus appliquées.


Je ne doute pas qu’il ait côtoyé régulièrement ces « zones déshéritées », et qu’une longue fréquentation de leurs habitants lui ait permis de comprendre leurs problèmes spécifiques et leurs aspirations. Néanmoins cet homme éminent, ayant été des années durant « Ministre délégué à la ville. » on est en droit de s’étonner que le problème n’ait pas déjà été résolu, pendant cette longue période où il était aux affaires… ?!


Mais avec l’âge, dit-on, vient la sagesse si ce n’est les compétences ; quelles sont donc les intéressantes propositions qui sont nées de cette longue expérience. La première chose qui frappe, c’est la déclaration selon laquelle la responsabilité de l’état de fait revient à l’Etat qui ne se serait pas assez engagé ;;;! Dans un pays en faillite comptable, où toute la production est absorbée par la dette, « l’état providence » a cessé d’exister, Il est venu le temps où il est nécessaire de rappeler qu’avant d’avoir des droits on à des devoirs. Visiblement Mr Borloo n’a pas eu la clairvoyance de J.F Kennedy : « avant de vous demander ce que votre pays fait pour vous, demandez ce que, vous, vous faites pour lui ?! » ; dans le cas présent que font ces personnes pour l’état ?


Les propositions de ce rapport sont je crains empruntes d’un dogmatisme facile qui prétend enfoncer des portes qui n’existent que dans un monde virtuel, celui où semble se complaire à évoluer l’auteur de ce rapport. Pour résumer, il faut créer pour ces populations des filières d’enseignement, d’emploi, d’existence, distinctes et dédiées spécifiquement, en parallèle avec ce qui existe pour 95% de la population du pays ; projet d’un coût colossal qui devrait être financé par le levée d’un nouvel impôt !


Pour quelles raisons vouloir créer des filières parallèles ou réservées ? Pour empêcher la discrimination ? Ou plutôt la sélection, car dans les milieux bien pensants où l’on s’obstine à refuser le monde réel au profit d’utopies mortifères du monde des égaux, il faut à tous prix corriger la nature. On voit où ces utopistes ont mené notre pays.


Ce que ce penseur éclairé semble avoir oublié et qui est pourtant primordial pour comprendre ce qui se passe, est que ces « banlieues » ont été peu à peu investies par des populations allogènes qui refusent d’abandonner leur mœurs, leurs coutumes et leurs spécificités ; des populations qui non seulement refusent de « s’intégrer » mais prétendent, que ce soit par inertie ou violence nous imposer leurs us et coutumes, leur religion et le droit qui en découle. Ce n’est pas un hasard si ces populations sont très largement islamisées : à nos règles de vie elles opposent la leur : la charia.


Dès lors que l’on a compris que ces nouveaux banlieusards, refusent notre manière de vivre et de penser, mais veulent rester entre eux, se régissant avec des lois venues d’ailleurs et pour la plupart incompatibles avec l’étique et le droit Français, on comprend que l’argent n’est certainement pas la clef du problème.


Créer des écoles est une chose, que les gens s’y instruisent en est une autre. Distribuer des diplômes dévalorisés ne sert à rien, seuls les imbéciles peuvent se réjouir des 88% de réussite au bac, car ils ne veulent pas voir qu’un étudiant sur 3 abandonne ses études au cours de la première année, et que seulement 23% obtiendront une licence au bout de la troisième année…. ! Mais peut être envisage-t-on des « filières parallèles » où savoir lire et écrire ne sera plus nécessaire, où l’enseignement sera « dématérialisé » et les diplômes obtenus à un distributeur, avec le café et les sodas… !


La France à-t-elle réellement de la chance d’avoir des politiques capables d’analyser aussi finement les situations et de proposer des solutions aussi géniales… ?! L’homme de la rue, le contribuable que je suis se dit : « de qui se moque-t-on ?».Ces gens du Sérail vivent dans un monde à part où l’on cultive l’utopie marxiste sans tenir aucun compte des réalités du terrain, des besoins, des aspirations et de la volonté du peuple de France. On ne peut forcer les gens à devenir ce qu’il ne veulent pas et dépenser des milliards d’Euros ne sert à rien : Rétablissons d’abord l’état de droit dans ces banlieues, renvoyons dans leur pays d’origine ceux qui refusent nos lois, nos us et coutumes, qui refusent même d’apprendre notre langue….Cessez messieurs le politiques de vous repentir de ce que nous n’avons pas fait, ( mais encore faudrait-il que vous ayez des notions d’Histoire… !) .


Mais pour faire cela, pour prétendre parler au nom de la France, il faut en avoir dans le pantalon, et malheureusement c’est le seul organe qui ne se greffe pas…

Méfiez vous Messieurs qui vous croyez grands, avec le temps, les veaux deviennent Taureaux et leur charge brutale, imprévisible et aveugle, est meurtrière.


Michel ROGER - VPF Ile de France


 
 
 

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